voici mon récits refait, je vous pris de ne pas faire de Hrp
et si vous souhaitiez intervenir pour y dire vos impressions, utilisez l'ancien topic rédemption
de plus je préviens que certains passage de cette nouvelle mouture pourraient choquer les esprits les plus jeunes, alors lisez en connaissance de cause
Partie 1
Les étoiles sont les seules sources de lumière dans l'immensité de l'espace. Le Chariot de Feu est l'un des vaisseaux de bataille les plus efficace de la flotte de l'amiral Arlesia. Il regardait par delà le plaxacier ; le rapport qu'on lui avait remis deux jours auparavant se trouvant dans sa main. Ses espions lui avaient rapportés que des esclaves étaient retenus prisonnier sur la planète Kalis des Dwels.
Son uniforme bleu marine se reflétait sur la paroi transparente, l'hologramme de la planète flottait dans les airs. Arlesia semblait perdu dans ses propres pensées quand il entendit les bip caractéristiques de son sas. Il appuya sur le bouton d'ouverture afin de laisser entrer son second. Il jaugea l'homme qui se trouvait en face de lui. Il le connaissait depuis près de dix ans. Il était rentré à son services alors que l'amiral se trouvait encore parmi les anges.
Malgré le nombre d'année et l'amitié qui les liés. Le second était toujours très à cheval sur le protocole. Les portes du sas se refermèrent sur cet homme sur qui l'on voyait les années passées tel les rides qui qui maculaient son visage. C'est alors que le second pris la parole :
« Nous avons repéré trois bataillon dans différents parsecs. Ils se dirigent vers la planète.
-Je m'en doutais, c'est pour cela que nous avons le soutien de la moitié de la flotte de la starlight. Ils seront facilement les gérer. Cela va nous laisser le temps de faire évacuer les esclaves de la planète. Vous pouvez rompre je vous rejoint sur la passerelle de commandement dans quelques minutes. »
Le second sortit rejoindre son poste, et Arlésia, termina de signer quelques papier avant d'éteindre sa console. Il prit la direction de la passerelle. Les couloirs étaient remplis de ses hommes qui s'occupaient de faire tourner le Chariot de Feu. L'amiral arriva sur la passerelle et prit place à son siège de commandement.
Le scanner se mit à hurler, le lieutenant charger de la surveillance indiqua que six bataillons venaient d'apparaître dans différents parsecs. Le Chariot de Feu étaient encerclés et la flotte de la starlight se retrouvé entre eux. Les salves de plasma se mirent a pleuvoir en direction du vaisseau. L'amiral marchais sur le pont principal du vaisseaux, l'équipage était en émois. Le Chariot était assaillit de toutes part et le vaisseau avait déjà subit plusieurs avaries plutôt sérieuses.
« Quels sont les pronostics pour un passage en vitesse lumières ?
-le bouclier est Hors Services, la coques est endommagées, la salle des machines a subit plusieurs tirs. Nous perdons de l'oxygène a tribord et bâbord dans les secteurs 5, 7 ,9, 15 et 26.... »
Une nouvelle secousse fit basculer Arlésia, le signal d'urgence se déclencha indiquant que le vaisseaux se présentait plus comme une épave qu'un navire digne de ce nom.
« Amiral, les moteurs bâbord ont été détruits et l'oxygène sans échappe.
-Fermez les écoutilles sur les ponts C, D, F et G ! coupez les alimentation en oxygènes de ces secteurs. Et mettez moi en haut parleur sur le champ !
-A vos ordres Amiral...communication établie sur tout le vaisseaux.
-Ici votre amiral, nous subissons trop de dommage, je demande à tout l'équipage de quitter le navire. Rejoignez les navettes de secours sur le champs. Terminer ! »
L'amiral s'assit sur son siège, cette bataille qui devait être gagné d'avance fut un vrai désastre. Il se tourna vers le second et le regarda dans les yeux :
« En coupant l'énergie, sur les secteur évacué, et en alimentant au minimum le reste du vaisseau serait il possible de refaire fonctionner suffisamment le bouclier pour qu'il puisse éperonner le vaisseau amiral de la flotte adversaire.
-Euh...oui, bien sur, mais...amiral...vous n'allez tout de même pas ...
-alors faites le et que tout le monde ici quitte le vaisseau sur le champ. C'est un ordre ! »
les Officiers du pont supérieur se mirent au garde a vous avant d'exécuter les ordres de l'amiral Arlesia et de quitter la passerelle.
Arlesia s'assit au commande, il fallait que son plan marche suffisamment longtemps pour que l'équipage puisse rentrer en basse atmosphère et être ainsi protéger par les défenses planétaires. Il pris les commande et commença les manoeuvres. Le vaisseaux se mit en branle et les bouclier encaissèrent facilement les tirs des chasseurs adverses. Le vaisseau amiral se mit à tirer, faisant diminuer la puissance du bouclier, mais le chariot de feu ne s'arrêta pas !
L'amiral ne sentis pas le coup venir, et il fut assommé. Lorsqu'il rouvrit les yeux, la pièce dans laquelle il se trouvait était sombre, petit, et humide, les murs noirs de suie montraient la longévité du bâtiment. Ce dernier devait dater d'avant les premières colonisations. Il avait l'impression qu'on venait de lui serrait la tête dans un étaux. Il tourna la tête vers sa droite et y vit l'un de ses hommes. Il me regardait, espérant que je puisse le réconforter dans une telle situation.
« Que c'est il passer ?
- Le second nous a demander d'attendre quand on allait partir, puis il a pris plusieurs hommes avec lui. Ils sont partis vous chercher amiral, et lorsqu'ils sont revenus, le second manqués et vous étiez assommé. On est parti a ce moment. Le chariot de feu est rentrer en collision avec le vaisseau amiral adverse, mais nous avons été récupéré par un rayon tracteur sur un croiseur ennemis. »
Je me maudissait d'avoir choisit un tel second, plus têtus qu'une mule. Mais il était mort maintenant et je ne pouvais plus rien faire pour lui.
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Rédemption (refonte du texte)
Rédemption (refonte du texte)
Modifié en dernier par Invité le 21:19:42 (18/11/07), modifié 1 fois.
Partie 2
C'est d'abord le grincement des gonds qui me fit tourner la tête en direction de la porte que l'on venait d'ouvrir. Quatre gardes armés rentrèrent à ce moment pour prendre l'officier et l'emmener. Plusieurs heures s'écoulèrent, dans le noirs et le froid, avant que les gardes ne ramènent l'officier. Il le jetèrent sans ménagement sur sa couche de fortune, et ressortir.
Je m'approchais de lui et le regardais. Il était couvert de plaies, de marques de brûlures. Ses cheveux étaient humide. L'iris de ses yeux étaient dilatées. Mes paroles surgirent alors de ma bouche :
« Que veulent ils savoir?
Je... n'en sais... rien, ils n'ont... posés aucune... questions. Ils m'ont... juste... torturés. J'ai... cru... mourir »
Il tremblait, alors que je lui disait de se reposer, la porte s'ouvrit et c'est moi qu'il vinrent chercher. Ils m'emmenèrent dans une salle totalement stérile. Les murs étaient blancs, a en jugés par les composants, cet partie du bâtiment était récente, mais la pièce était hermétiquement fermé, et même pressurisée, quoique je fasse je ne pouvais m'échapper et sortir de cette pièce indemne. Ils m'attachèrent sur une chaise et me sanglèrent. Quelques minutes plus tard un homme rentra et fit sortir mes tortionnaires. Il était accompagné d'un androïde XS-25, connu pour des tortures totalement inhumaine.
« Bonsoir Amiral Arlesia, vous nous avez donné du mal. Nous aurions pu vous capturer plus facilement et avec moins de dommage pour vos hommes si vous vous étiez laisser faire.
- et pourquoi j'aurais fait sa ! Et puis qui êtes vous ? »
L'homme s'avança jusqu'à moi et se pencha vers mon oreille :
« sa n'a pas d'importance. Tout ce que nous voulions c'est vous, car nous avons des vus sur vous. »
Il se tût, et je sentis une vive douleur dans mon coup. L'androïde venait de m'injecter une substance. Mon coeur se mit à s'accellerer quelques secondes plustard. J'avais l'impression qu'il allait lacer. L'homme s'assit sur une chaise et regarda l'androïde avec une patience infinie. Alors que le droïde allait se mettre au travail il prononça une phrase qui m'aurait fait arracher sa tête si j'avais pu le faire :
« Surtout, si vous ne pouvez plus contenir la douleur, n'hésitez pas à hurler. La voie de mes victimes sont la plus douce symphonie qu'il me soit donner d'apprécier. Après tout, je ne vit que pour vous voir tomber »
Le sourire qui maculait son visage était la preuve de son contentement. Le droïde s'avança et commença a prendre des aiguilles. Il prit ma main en me la broyant légèrement de manière a ce que je ne puisse la bouger, puis il enfonça délicatement les aiguilles sous mes ongles. Chacune d'elles étaient reliées a une machine qu'il activa. Au début il ne se passa rien de plus que la douleur causé par le métal sous la peau, puis vint une chaleur qui brûla les chairs. Je serrais les dents à m'en faire saigner les gencives. La douleur aurait pu me faire sombrer dans l'inconscient mais ce ne fut pas le cas. La voie de mon tortionnaire résonna dans la pièce :
« Vous comprendrez que nous utilisons tout d'abord la vieille méthode avant de nous mettre réellement à table. J'espère que vous tiendrez un peu mieux que votre officier. »
Le droïde continua son office, tel le bourot qu'il était. Il déchira ma chemise et plaqua des électrode sur ma peau, puis il envoya la décharge. Mon corps s'arquait tant qu'il pouvait les aiguilles qu'il n'avait pas retirer s'enfoncèrent un peu plus lorsque je serrais les poings. Les larmes coulaient sur mes joues tandis que le goût cuivré du sang emplissait ma bouche. Je ne sombrait toujours pas dans l'inconscience. Je compris a ce moment que ce qu'il m'avait injecté dans le cou, était une substance pour évité que je ne sombre dans les bras de morphée.
« Il paraît que vous êtes un ange, j'aimerais vraiment voir vos ailes. On raconte que c'est le plus beau des cadeaux ou la mise en garde de la mort. »
Je voulais lui répondre mais je n'en avais pas la force. Je luttais constamment contre la douleur. Le droïde retira les aiguilles et les électrochocs qu'il rangea soigneusement, puis il prit un écarteur qu'il me mit dans la bouche. De la manière dont ils m'avaient sangler, je ne pouvais pas bouger la tête et c'est sans difficulté qu'il put me mettre son instrument. Puis il prit une pince chirurgical qu'il introduit dans ma bouche avant de commencer a me retirer une dent, lentement, douloureusement, inévitablement. Je souffrais, je ne pouvais contenir un cri. Je commençais donc à hurler. Cela ne me soulageait pas mais je pouvais ainsi laisser libre cour à ma douleur. Le droïde s'attaqua à une autre de mes dents.
« Voyons, si vous acceptiez de sortir vos ailes vos pouvoirs de régénération pourraient prendre le relais et vous pourriez vous soigner. On dit que vous êtes capables de soigner n'importe quel partie du corps qui serait arrachés, mutilé, et ceci en l'espace de quelques heures. »
Le droïde enleva le métal de la bouche, me laissant un flot continu de sang, qui se répandait sur mon menton et coulait sur mon torse.
Le droïde prit une masse et fit ce que je craignais le plus, il frappa une seule fois. Le choc m'arracha un cri qui aurait pu rendre sourd n'importe qui. La masse venait de me broyer irrémédiablement mes genoux. Sous la douleur, je ne pu faire qu'une seule chose pour ne pas sombrer dans la folie. En me concentrant un peu je fis sauter les sangles et mon corps s'éleva dans les airs. C'est alors qu'elle sortirent, mes ailes étaient toute aussi blanches, et lumineuses qu'autrefois. Mon pouvoir de régénération commença alors a circuler en moi en déployant tout ce qu'il pouvait pour soigné mes plaies. Je sentais déjà mes dents repousser. Ce fut d'abord la douleur qui me ramena dans l'instant présent. Puis je vit que le droïde avait appuyé sur un bouton qui actionna plusieurs bras mécaniques. Ces derniers me prirent a la taille, au cou, les bras, les poignées, les chevilles. Je fus une nouvelle fois immobilisé et ramener devant mon tortionnaire. Ce dernier passa derrière moi et m'arracha mes ailes. Les cris qui sortirent alors de ma bouche, brisèrent toutes les parois constitué de verre et je pu voir l'espace d'un instant que j'avais fait fondre certains circuit de droïde. Mais ce ne fut que l'espace d'un instant car mon esprit m'échappa et je sombrais dans une nuit sans rêve.
Je me réveillez dans ma cellule. L'officier était toujours allongé, il avait du recevoir un traitement de choc car il ne pouvait plus bouger. Tout mes membres hurlait de douleurs, mais mon pouvoir de guérison fesait déjà son office, même mes ailes commençaient a repousser. Je pu m'approcher de lui. Son corps ne semblait plus que plaie et meurtrissurent. En le voyant une envie me pris et je ne put me retenir. Mes lèvres s'approchèrent d'une des plaies et je commençais a la lécher. Le sang qui s'y trouvait dessus, me firent l'effet d'une gorgée d'un nectar interdit. Je me reculais a nouveau. J'étais assis au pied de mon lit, en train de regarder cet homme. Une seule choses me martelais le cerveau. J'avais envie de recommencer l'expérience. Bien malgré moi, je me levais et me rassit sur le coin du lit de mon compagnon de cellule. Je pris délicatement son bras et rapprochais une des plaies de ma bouche. Instinctivement mes dents se plantèrent et je ne put m'arrêter de boire. Oui ! Je buvais du sang et j'en trouvais le goût exquis et sans équivalent. Je ne pus m'arrêter et je découvris que je venais de le tuez. J'étais devenus un vampire, un buveur de sang. On venait de me maudire, moi un ancien ange, je venais de sombrer dans les ténèbres.
Je me relevais dégoutté de ce que je venais de faire. Je m'approcher de la porte et y donnait un coup d'épaule. Le bois céda si facilement. J'avais l'impression de plier du carton. Les deux gardes se mirent en position devant moi, et commencèrent à prendre leurs blasters. Leur mouvement me semblaient si lent. Je me faufilait derrière le premier garde sans qu'il puisse réagir et je pris sa tête de manière à lui briser la nuque. Le craquement des os sonnèrent sèchement dans mes oreilles avant que je réalise que sa tête avais fait 180°. Le tir du deuxième garde m'érafla la joue. Je réagis par instinct et lui découcher un direct. Les os de son crane craquèrent sous l'impact et le garde tomba raide mort a mes pieds.
Je réalisait alors que mes pouvoirs seuls n'auraient pu me soigné ainsi. Le secret était mon nouvel état et la puissance du sang. Malheureusement, je ne pouvais attendre ici sans rien faire. Je pris les deux corps et les emmenaient dans la cellules avant de prendre l'uniforme d'un garde. Une fois que la tenue fut enfilé, je pris la direction d'un couloir en espérant qu'il me mènerait vers la sortie. J'eus vraiment de la chance, car je l'a trouvait du premier coup. On me laissa sortir, je venais de les duper, en me faisant passer pour l'un d'eux et les grilles de la prison s'ouvrir devant moi...
C'est d'abord le grincement des gonds qui me fit tourner la tête en direction de la porte que l'on venait d'ouvrir. Quatre gardes armés rentrèrent à ce moment pour prendre l'officier et l'emmener. Plusieurs heures s'écoulèrent, dans le noirs et le froid, avant que les gardes ne ramènent l'officier. Il le jetèrent sans ménagement sur sa couche de fortune, et ressortir.
Je m'approchais de lui et le regardais. Il était couvert de plaies, de marques de brûlures. Ses cheveux étaient humide. L'iris de ses yeux étaient dilatées. Mes paroles surgirent alors de ma bouche :
« Que veulent ils savoir?
Je... n'en sais... rien, ils n'ont... posés aucune... questions. Ils m'ont... juste... torturés. J'ai... cru... mourir »
Il tremblait, alors que je lui disait de se reposer, la porte s'ouvrit et c'est moi qu'il vinrent chercher. Ils m'emmenèrent dans une salle totalement stérile. Les murs étaient blancs, a en jugés par les composants, cet partie du bâtiment était récente, mais la pièce était hermétiquement fermé, et même pressurisée, quoique je fasse je ne pouvais m'échapper et sortir de cette pièce indemne. Ils m'attachèrent sur une chaise et me sanglèrent. Quelques minutes plus tard un homme rentra et fit sortir mes tortionnaires. Il était accompagné d'un androïde XS-25, connu pour des tortures totalement inhumaine.
« Bonsoir Amiral Arlesia, vous nous avez donné du mal. Nous aurions pu vous capturer plus facilement et avec moins de dommage pour vos hommes si vous vous étiez laisser faire.
- et pourquoi j'aurais fait sa ! Et puis qui êtes vous ? »
L'homme s'avança jusqu'à moi et se pencha vers mon oreille :
« sa n'a pas d'importance. Tout ce que nous voulions c'est vous, car nous avons des vus sur vous. »
Il se tût, et je sentis une vive douleur dans mon coup. L'androïde venait de m'injecter une substance. Mon coeur se mit à s'accellerer quelques secondes plustard. J'avais l'impression qu'il allait lacer. L'homme s'assit sur une chaise et regarda l'androïde avec une patience infinie. Alors que le droïde allait se mettre au travail il prononça une phrase qui m'aurait fait arracher sa tête si j'avais pu le faire :
« Surtout, si vous ne pouvez plus contenir la douleur, n'hésitez pas à hurler. La voie de mes victimes sont la plus douce symphonie qu'il me soit donner d'apprécier. Après tout, je ne vit que pour vous voir tomber »
Le sourire qui maculait son visage était la preuve de son contentement. Le droïde s'avança et commença a prendre des aiguilles. Il prit ma main en me la broyant légèrement de manière a ce que je ne puisse la bouger, puis il enfonça délicatement les aiguilles sous mes ongles. Chacune d'elles étaient reliées a une machine qu'il activa. Au début il ne se passa rien de plus que la douleur causé par le métal sous la peau, puis vint une chaleur qui brûla les chairs. Je serrais les dents à m'en faire saigner les gencives. La douleur aurait pu me faire sombrer dans l'inconscient mais ce ne fut pas le cas. La voie de mon tortionnaire résonna dans la pièce :
« Vous comprendrez que nous utilisons tout d'abord la vieille méthode avant de nous mettre réellement à table. J'espère que vous tiendrez un peu mieux que votre officier. »
Le droïde continua son office, tel le bourot qu'il était. Il déchira ma chemise et plaqua des électrode sur ma peau, puis il envoya la décharge. Mon corps s'arquait tant qu'il pouvait les aiguilles qu'il n'avait pas retirer s'enfoncèrent un peu plus lorsque je serrais les poings. Les larmes coulaient sur mes joues tandis que le goût cuivré du sang emplissait ma bouche. Je ne sombrait toujours pas dans l'inconscience. Je compris a ce moment que ce qu'il m'avait injecté dans le cou, était une substance pour évité que je ne sombre dans les bras de morphée.
« Il paraît que vous êtes un ange, j'aimerais vraiment voir vos ailes. On raconte que c'est le plus beau des cadeaux ou la mise en garde de la mort. »
Je voulais lui répondre mais je n'en avais pas la force. Je luttais constamment contre la douleur. Le droïde retira les aiguilles et les électrochocs qu'il rangea soigneusement, puis il prit un écarteur qu'il me mit dans la bouche. De la manière dont ils m'avaient sangler, je ne pouvais pas bouger la tête et c'est sans difficulté qu'il put me mettre son instrument. Puis il prit une pince chirurgical qu'il introduit dans ma bouche avant de commencer a me retirer une dent, lentement, douloureusement, inévitablement. Je souffrais, je ne pouvais contenir un cri. Je commençais donc à hurler. Cela ne me soulageait pas mais je pouvais ainsi laisser libre cour à ma douleur. Le droïde s'attaqua à une autre de mes dents.
« Voyons, si vous acceptiez de sortir vos ailes vos pouvoirs de régénération pourraient prendre le relais et vous pourriez vous soigner. On dit que vous êtes capables de soigner n'importe quel partie du corps qui serait arrachés, mutilé, et ceci en l'espace de quelques heures. »
Le droïde enleva le métal de la bouche, me laissant un flot continu de sang, qui se répandait sur mon menton et coulait sur mon torse.
Le droïde prit une masse et fit ce que je craignais le plus, il frappa une seule fois. Le choc m'arracha un cri qui aurait pu rendre sourd n'importe qui. La masse venait de me broyer irrémédiablement mes genoux. Sous la douleur, je ne pu faire qu'une seule chose pour ne pas sombrer dans la folie. En me concentrant un peu je fis sauter les sangles et mon corps s'éleva dans les airs. C'est alors qu'elle sortirent, mes ailes étaient toute aussi blanches, et lumineuses qu'autrefois. Mon pouvoir de régénération commença alors a circuler en moi en déployant tout ce qu'il pouvait pour soigné mes plaies. Je sentais déjà mes dents repousser. Ce fut d'abord la douleur qui me ramena dans l'instant présent. Puis je vit que le droïde avait appuyé sur un bouton qui actionna plusieurs bras mécaniques. Ces derniers me prirent a la taille, au cou, les bras, les poignées, les chevilles. Je fus une nouvelle fois immobilisé et ramener devant mon tortionnaire. Ce dernier passa derrière moi et m'arracha mes ailes. Les cris qui sortirent alors de ma bouche, brisèrent toutes les parois constitué de verre et je pu voir l'espace d'un instant que j'avais fait fondre certains circuit de droïde. Mais ce ne fut que l'espace d'un instant car mon esprit m'échappa et je sombrais dans une nuit sans rêve.
Je me réveillez dans ma cellule. L'officier était toujours allongé, il avait du recevoir un traitement de choc car il ne pouvait plus bouger. Tout mes membres hurlait de douleurs, mais mon pouvoir de guérison fesait déjà son office, même mes ailes commençaient a repousser. Je pu m'approcher de lui. Son corps ne semblait plus que plaie et meurtrissurent. En le voyant une envie me pris et je ne put me retenir. Mes lèvres s'approchèrent d'une des plaies et je commençais a la lécher. Le sang qui s'y trouvait dessus, me firent l'effet d'une gorgée d'un nectar interdit. Je me reculais a nouveau. J'étais assis au pied de mon lit, en train de regarder cet homme. Une seule choses me martelais le cerveau. J'avais envie de recommencer l'expérience. Bien malgré moi, je me levais et me rassit sur le coin du lit de mon compagnon de cellule. Je pris délicatement son bras et rapprochais une des plaies de ma bouche. Instinctivement mes dents se plantèrent et je ne put m'arrêter de boire. Oui ! Je buvais du sang et j'en trouvais le goût exquis et sans équivalent. Je ne pus m'arrêter et je découvris que je venais de le tuez. J'étais devenus un vampire, un buveur de sang. On venait de me maudire, moi un ancien ange, je venais de sombrer dans les ténèbres.
Je me relevais dégoutté de ce que je venais de faire. Je m'approcher de la porte et y donnait un coup d'épaule. Le bois céda si facilement. J'avais l'impression de plier du carton. Les deux gardes se mirent en position devant moi, et commencèrent à prendre leurs blasters. Leur mouvement me semblaient si lent. Je me faufilait derrière le premier garde sans qu'il puisse réagir et je pris sa tête de manière à lui briser la nuque. Le craquement des os sonnèrent sèchement dans mes oreilles avant que je réalise que sa tête avais fait 180°. Le tir du deuxième garde m'érafla la joue. Je réagis par instinct et lui découcher un direct. Les os de son crane craquèrent sous l'impact et le garde tomba raide mort a mes pieds.
Je réalisait alors que mes pouvoirs seuls n'auraient pu me soigné ainsi. Le secret était mon nouvel état et la puissance du sang. Malheureusement, je ne pouvais attendre ici sans rien faire. Je pris les deux corps et les emmenaient dans la cellules avant de prendre l'uniforme d'un garde. Une fois que la tenue fut enfilé, je pris la direction d'un couloir en espérant qu'il me mènerait vers la sortie. J'eus vraiment de la chance, car je l'a trouvait du premier coup. On me laissa sortir, je venais de les duper, en me faisant passer pour l'un d'eux et les grilles de la prison s'ouvrir devant moi...
Partie 3
Je me retrouvais dans une ville où se mêlait le moderne et l'ancien. Les rues étaient bondées, c'était le jour de marché à première vue. Les marchands criaient à s'en rompre les cordes vocales. Il s'agissait d'un peuple cosmopolite, on y voyait différentes races se côtoyant sans aucune haine. Les soleils se trouvaient haut dans le ciel, et la chaleur en était étouffante. Je me sentais faible et j'arpentais les rues dans le costume d'un officier, on me regardait avec respect ou crainte. Je n'aurais su le dire.
Une envie commençait à me tenailler l'estomac. La foule dans laquelle je me trouvais, été une véritable torture pour moi. Je ne pouvais faire un pas sans percuter une personne, le contact avec ses gens, sentir l'odeur de leur corps, le parfum suave de leur peau me donnait le tournis. Je chancelais comme un alcoolique, je finis dans une ruelle ou je me mis à vomir tout ce que j'avais pu ingérer. Je m'écroulais contre le mur d'une ruelle sombre et je sombrais dans un semis coma. Je vis une ombre se rapprocher de moi, je fermais les yeux cinq minutes le temps que les battements que je ressentais dans ma tête cessent. Lorsque je rouvris les yeux je pu remarqué que plusieurs heures c'était écoulé, alors que j'avais l'impression d'avoir fait un simple battement de cil. Je repris le peu d'esprit qu'il me restait et remarqué que l'on m'avait fait les poches et pris mes chaussures. J'avais plus l'allure d'un SDF que celui d'un amiral de la flotte de la corporation Light. Mon soucis pour le moment était de pouvoir m'échapper de cette planète. Mon évasion n'avait pas du passer inaperçue et je devais me méfier de qui que se soit et trouver un vaisseau au plus vite. C'est a ce moment qu'un homme vint me voir. Il n'était pas mieux vêtu que moi, a la différence que je ne ressentais pas pour lui la même envie de lui déchirer la gorge avec mes dents.
« Bonsoir, n'ai pas peur je ne te veux aucun mal.
Ce n'est pas le sentiment que vos amis mon laissait. Ma voie trahissait ma peur.
- Tu traverse une phase qu'il va te falloir surmonter. Si tu veux apprendre suis moi. »
Il n'attendit pas que je réponde et reparti dans la direction opposé, s'enfonçant dans la ruelle sombre. Je me levais, et commençais à prendre la direction opposé, j'arrivais dans la rue principal et je remarqué que des gardes interrogés des civils, ils leur brandissait un portrait en leur demandant des renseignements. J'arrivais a distinguer leur voies parmi le brouhaha de la rue. Ils se renseignaient sur moi, je fit directement demi-tour et m'enfonçait dans la ruelle. Au bout de celle-ci se trouvait un immense mur. J'étais coincé, en portant mon regard sur le sol je vis qu'une bouche d'égouts était ouverte. Sans prendre réellement le temps de réfléchir je la descendis et la refermait. L'odeur qui arriva a mes narines faillit me faire vomir sur le champs.
Je sautais dans une marre de liquide dont je ne voulais connaître la contenance. Tout ce que je sentais était le coté poisseux de cette 'eau' qui passait entre mes pieds nus. Je m'enfonçais un peu plus dans les égouts. Je ne sait combien de temps je marchais, mais j'arrivais a une sortis. La lumière du soleil, sembla me priver de toutes mes forces. C'est a genou que je finis ma progression, incapable de me relever ou de tenir debout plus longtemps. Lorsque je fus a l'embouchure, je remarquais que le liquide immonde des égouts tombés de plusieurs mètres dans une espèces de douves entourant une murailles hautes de plusieurs kilomètres.
N'en pouvant plus, mes doigts glissèrent et je finis par perdre l'équilibre. Je basculais dans le vide, par chance je n'atterrit pas dans les douves mais sur le sol, dur, rugueux, sec. Le choc fut moins enviable à la chute. J'eus l'impression que tout les os de mon corps c'était rompus à l'impact. Tant bien que mal je me levais pour constater que je venais d'atterrir en Enfer. Devant mes yeux ne s'étendait que désolation, sable brûlant, roches nues. Mes plaies, me faisaient atrocement souffrir, mais je continuais ma progression, recherchant un coin d'ombre salvateur. Toutefois, mes espoirs furent vite balayaient comme un fétu de paille. Les seules rochers que je trouvais n'était pas assez grand pour fournir une ombre suffisante a mon corps endolorie. Mes pieds avancèrent, lentement, chaque pas procurait une morsure infernale. J'avais l'impression de progression a la vitesse d'un escargot. Je chutais plusieurs fois, m'assoupissant, me réveillant, recommençant ma progression, inexorablement, cherchant a fuir je ne sais plus qui, je ne sais plus quoi. Je progressait de cette manière toute la journée, et lorsque le soleil finit par se coucher, j'avais l'impression que la délivrance allait arrivée...
Je me retrouvais dans une ville où se mêlait le moderne et l'ancien. Les rues étaient bondées, c'était le jour de marché à première vue. Les marchands criaient à s'en rompre les cordes vocales. Il s'agissait d'un peuple cosmopolite, on y voyait différentes races se côtoyant sans aucune haine. Les soleils se trouvaient haut dans le ciel, et la chaleur en était étouffante. Je me sentais faible et j'arpentais les rues dans le costume d'un officier, on me regardait avec respect ou crainte. Je n'aurais su le dire.
Une envie commençait à me tenailler l'estomac. La foule dans laquelle je me trouvais, été une véritable torture pour moi. Je ne pouvais faire un pas sans percuter une personne, le contact avec ses gens, sentir l'odeur de leur corps, le parfum suave de leur peau me donnait le tournis. Je chancelais comme un alcoolique, je finis dans une ruelle ou je me mis à vomir tout ce que j'avais pu ingérer. Je m'écroulais contre le mur d'une ruelle sombre et je sombrais dans un semis coma. Je vis une ombre se rapprocher de moi, je fermais les yeux cinq minutes le temps que les battements que je ressentais dans ma tête cessent. Lorsque je rouvris les yeux je pu remarqué que plusieurs heures c'était écoulé, alors que j'avais l'impression d'avoir fait un simple battement de cil. Je repris le peu d'esprit qu'il me restait et remarqué que l'on m'avait fait les poches et pris mes chaussures. J'avais plus l'allure d'un SDF que celui d'un amiral de la flotte de la corporation Light. Mon soucis pour le moment était de pouvoir m'échapper de cette planète. Mon évasion n'avait pas du passer inaperçue et je devais me méfier de qui que se soit et trouver un vaisseau au plus vite. C'est a ce moment qu'un homme vint me voir. Il n'était pas mieux vêtu que moi, a la différence que je ne ressentais pas pour lui la même envie de lui déchirer la gorge avec mes dents.
« Bonsoir, n'ai pas peur je ne te veux aucun mal.
Ce n'est pas le sentiment que vos amis mon laissait. Ma voie trahissait ma peur.
- Tu traverse une phase qu'il va te falloir surmonter. Si tu veux apprendre suis moi. »
Il n'attendit pas que je réponde et reparti dans la direction opposé, s'enfonçant dans la ruelle sombre. Je me levais, et commençais à prendre la direction opposé, j'arrivais dans la rue principal et je remarqué que des gardes interrogés des civils, ils leur brandissait un portrait en leur demandant des renseignements. J'arrivais a distinguer leur voies parmi le brouhaha de la rue. Ils se renseignaient sur moi, je fit directement demi-tour et m'enfonçait dans la ruelle. Au bout de celle-ci se trouvait un immense mur. J'étais coincé, en portant mon regard sur le sol je vis qu'une bouche d'égouts était ouverte. Sans prendre réellement le temps de réfléchir je la descendis et la refermait. L'odeur qui arriva a mes narines faillit me faire vomir sur le champs.
Je sautais dans une marre de liquide dont je ne voulais connaître la contenance. Tout ce que je sentais était le coté poisseux de cette 'eau' qui passait entre mes pieds nus. Je m'enfonçais un peu plus dans les égouts. Je ne sait combien de temps je marchais, mais j'arrivais a une sortis. La lumière du soleil, sembla me priver de toutes mes forces. C'est a genou que je finis ma progression, incapable de me relever ou de tenir debout plus longtemps. Lorsque je fus a l'embouchure, je remarquais que le liquide immonde des égouts tombés de plusieurs mètres dans une espèces de douves entourant une murailles hautes de plusieurs kilomètres.
N'en pouvant plus, mes doigts glissèrent et je finis par perdre l'équilibre. Je basculais dans le vide, par chance je n'atterrit pas dans les douves mais sur le sol, dur, rugueux, sec. Le choc fut moins enviable à la chute. J'eus l'impression que tout les os de mon corps c'était rompus à l'impact. Tant bien que mal je me levais pour constater que je venais d'atterrir en Enfer. Devant mes yeux ne s'étendait que désolation, sable brûlant, roches nues. Mes plaies, me faisaient atrocement souffrir, mais je continuais ma progression, recherchant un coin d'ombre salvateur. Toutefois, mes espoirs furent vite balayaient comme un fétu de paille. Les seules rochers que je trouvais n'était pas assez grand pour fournir une ombre suffisante a mon corps endolorie. Mes pieds avancèrent, lentement, chaque pas procurait une morsure infernale. J'avais l'impression de progression a la vitesse d'un escargot. Je chutais plusieurs fois, m'assoupissant, me réveillant, recommençant ma progression, inexorablement, cherchant a fuir je ne sais plus qui, je ne sais plus quoi. Je progressait de cette manière toute la journée, et lorsque le soleil finit par se coucher, j'avais l'impression que la délivrance allait arrivée...
Partie 4
Mon impression me quitta rapidement, le froid glacial succéda à la chaleur infernale. J'étais vraiment en Enfer. Après tout quoi de plus naturel, moi un ancien ange venant d'être maudit, je ne pouvais que finir en Enfer. Je me remis à marcher sous la clarté des lunes de la planètes.
Ma progression dura des heures, ou simplement quelques minutes, j'avais perdu la notion du temps. Je ne ressentais qu'une chose, la soif. Une envie de boire du sang. Je finis par m'écrouler. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais allongé sur un lit de fortune mon corps étais bandé de toutes part. Je me trouvais dans une tente. Les soleils s'étaient levés, et la chaleur avait repris sa place dehors, mais l'air semblait presque frais sous les étoffes de tissus de la tente.
Le SDF que j'avais croisé dans la ville, s'approcha de moi :
« Ah, tu semble réveillé ! Comment te sent tu ? »
Il me tamponna le front avec un chiffon humide. Puis il alla chercher un verre en terre cuite qu'il me tendit. Je découvrit avec dégoût qu'il s'agissait de sang. Mais la soif était plus forte que mon honneur. Je pris le verre et me tournait pour que l'on ne me regarde pas boire. Le liquide sembla salvateur, mais il avait beaucoup moins de saveur que celui d'un homme. Le SDF s'assit sur le rebord du lit et commença à me parler.
« Tu n'as aucune honte à boire, même si c'est du sang. Le sang est la vie, et tu en auras besoin tout au long de l'éternité qui t'attend ! »
Ces mots frappèrent mon esprit et je jetais instantanément le verre au loin. L'homme se leva et alla chercher le récipient il le posa sur la table. Puis il se saisit d'un autre verre qu'il remplit à nouveau du liquide opaque. Il déposa le verre sur un plateau et revint s'asseoir sur le rebord du lit. Il déposa le tout sur le meuble improvisé en table de chevet, et reprit la ou il s'était arrêté :
« Tu renie ce que tu est, car tu te fait horreur pour le moment, mais sache que ce n'est pas du sang humain, mais celui d'animaux que tu vient de boire.
Vous insinuez que la vie des animaux est moins importantes que celles des hommes ?
Non, mais la conscience humaines se soulage plus facilement du meurtre d'un animal que de celui d'un homme. Tu as beaucoup à apprendre. Le temps de ta convalescence, je t'enseignerait tout ce que tu as besoin de savoir sur ta nouvelle condition. Et si tu estimes que tu dois en apprendre plus tu pourras rester. Mais pour le moment tu doit te reposer. »
Il se leva et allait partir quand je le stoppait :
« Je dois vous paraitre bien ingrat pour ne pas vous remercier pour tous ce que vous faites pour moi. Je ne connais même pas votre nom, ni même comment vous en savez autant sur moi.
- disons simplement que j'aide comme je le peux, et que mon nom n'a que peu d'importance, pour le moment »
Il sortit de la tente, et je retombait dans les bras de morphée. Je me réveillais à la tombée de la nuit, et mon apprentissage sur ma nouvelle condition continua ainsi pendant plusieurs mois. Lorsque l'homme estima que j'en savais suffisamment, il m'emmena dans une sorte de temple. De l'extérieur on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une simple grotte, mais lorsque l'on rentrait a l'intérieur on remarquait directement qu'elle n'était pas naturel. Nous marchâmes pendant longtemps jusqu'à ce que le sol me deviennent plus familier. En effet, nous étions dans une structure faite de métal. Là l'homme me dit qu'il s'agissait d'une petite frégate et que je devais retourner vers les miens car il devaient s'inquiéter.
Je le remercié pour tout ce qu'il avait fait et lui demandait s'il voulait m'accompagner. Il refusa directement. Je pris alors les commandes et entra les coordonnées d'envol. Les moteurs se mirent a vrombir et le vaisseaux décolla et se stabilisa. Je commençais à demander à l'ordinateur de rentrer les coordonnées de calcul de vitesse lumière afin de rentrer au bercail. Lorsque j'arrivais en orbite autour de la planète, la fenêtre de passage en vitesse lumière s'ouvrit devant moi, et j'en profitais pour partir.
Lorsque j'arrivais au QG des Light, j'arpentais les couloirs tels un fantôme. Je retrouvais mes quartiers, mais je dus changer mes habitudes afin que l'on ne remarque pas ce que j'étais devenus. Il me restait tout de même un espoir, ma condition pouvait être transcendé, il existait une rédemption et il fallait que j'emprunte ce chemin afin de pouvoir revenir dans la lumière
Mon impression me quitta rapidement, le froid glacial succéda à la chaleur infernale. J'étais vraiment en Enfer. Après tout quoi de plus naturel, moi un ancien ange venant d'être maudit, je ne pouvais que finir en Enfer. Je me remis à marcher sous la clarté des lunes de la planètes.
Ma progression dura des heures, ou simplement quelques minutes, j'avais perdu la notion du temps. Je ne ressentais qu'une chose, la soif. Une envie de boire du sang. Je finis par m'écrouler. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais allongé sur un lit de fortune mon corps étais bandé de toutes part. Je me trouvais dans une tente. Les soleils s'étaient levés, et la chaleur avait repris sa place dehors, mais l'air semblait presque frais sous les étoffes de tissus de la tente.
Le SDF que j'avais croisé dans la ville, s'approcha de moi :
« Ah, tu semble réveillé ! Comment te sent tu ? »
Il me tamponna le front avec un chiffon humide. Puis il alla chercher un verre en terre cuite qu'il me tendit. Je découvrit avec dégoût qu'il s'agissait de sang. Mais la soif était plus forte que mon honneur. Je pris le verre et me tournait pour que l'on ne me regarde pas boire. Le liquide sembla salvateur, mais il avait beaucoup moins de saveur que celui d'un homme. Le SDF s'assit sur le rebord du lit et commença à me parler.
« Tu n'as aucune honte à boire, même si c'est du sang. Le sang est la vie, et tu en auras besoin tout au long de l'éternité qui t'attend ! »
Ces mots frappèrent mon esprit et je jetais instantanément le verre au loin. L'homme se leva et alla chercher le récipient il le posa sur la table. Puis il se saisit d'un autre verre qu'il remplit à nouveau du liquide opaque. Il déposa le verre sur un plateau et revint s'asseoir sur le rebord du lit. Il déposa le tout sur le meuble improvisé en table de chevet, et reprit la ou il s'était arrêté :
« Tu renie ce que tu est, car tu te fait horreur pour le moment, mais sache que ce n'est pas du sang humain, mais celui d'animaux que tu vient de boire.
Vous insinuez que la vie des animaux est moins importantes que celles des hommes ?
Non, mais la conscience humaines se soulage plus facilement du meurtre d'un animal que de celui d'un homme. Tu as beaucoup à apprendre. Le temps de ta convalescence, je t'enseignerait tout ce que tu as besoin de savoir sur ta nouvelle condition. Et si tu estimes que tu dois en apprendre plus tu pourras rester. Mais pour le moment tu doit te reposer. »
Il se leva et allait partir quand je le stoppait :
« Je dois vous paraitre bien ingrat pour ne pas vous remercier pour tous ce que vous faites pour moi. Je ne connais même pas votre nom, ni même comment vous en savez autant sur moi.
- disons simplement que j'aide comme je le peux, et que mon nom n'a que peu d'importance, pour le moment »
Il sortit de la tente, et je retombait dans les bras de morphée. Je me réveillais à la tombée de la nuit, et mon apprentissage sur ma nouvelle condition continua ainsi pendant plusieurs mois. Lorsque l'homme estima que j'en savais suffisamment, il m'emmena dans une sorte de temple. De l'extérieur on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une simple grotte, mais lorsque l'on rentrait a l'intérieur on remarquait directement qu'elle n'était pas naturel. Nous marchâmes pendant longtemps jusqu'à ce que le sol me deviennent plus familier. En effet, nous étions dans une structure faite de métal. Là l'homme me dit qu'il s'agissait d'une petite frégate et que je devais retourner vers les miens car il devaient s'inquiéter.
Je le remercié pour tout ce qu'il avait fait et lui demandait s'il voulait m'accompagner. Il refusa directement. Je pris alors les commandes et entra les coordonnées d'envol. Les moteurs se mirent a vrombir et le vaisseaux décolla et se stabilisa. Je commençais à demander à l'ordinateur de rentrer les coordonnées de calcul de vitesse lumière afin de rentrer au bercail. Lorsque j'arrivais en orbite autour de la planète, la fenêtre de passage en vitesse lumière s'ouvrit devant moi, et j'en profitais pour partir.
Lorsque j'arrivais au QG des Light, j'arpentais les couloirs tels un fantôme. Je retrouvais mes quartiers, mais je dus changer mes habitudes afin que l'on ne remarque pas ce que j'étais devenus. Il me restait tout de même un espoir, ma condition pouvait être transcendé, il existait une rédemption et il fallait que j'emprunte ce chemin afin de pouvoir revenir dans la lumière
Partie 5
Le Général en chef Mulot arpentait les couloirs du QG de la starlight, sans réellement réfléchir ou ses pas pourrait le mener. L'amiral Arlesia avait disparu depuis maintenant plusieurs mois, et Mulot n'espérais plus son retour. Ce combat face aux Dwels avait été catastrophique... Quelle idée d'entrer sur leur territoire aussi? Arlesia devait bien avoir ses raisons pour mobiliser la moitié de la flotte de la Starlight G4 et la mener à sa perte. Mais il n'était plus là pour nous expliquer son geste.
Pendant longtemps, le Général avais espéré le retrouver un matin, à moitié mort, devant les portes du QG de la Light. Mais aucun doute n'était possible maintenant, Arlesia était mort. Mort dans son vaisseau -- ce qu'il espérais -- ou mort dans les geôles des sinistres Dwels? Peut être l'ont-ils torturés pour obtenir des informations sur la Starlight? C'était ce qu'il redoutais le plus. Certes nous avions bloqués ses accès à notre base de données OGSpy, mais il subsiste toujours un risque de pénétrer notre réseau informatique.
Cependant aucune attaque n'était à déplorer sur nos empires, ce qui confirmait le fait qu'Arlesia avait péri dans son vaisseau et n'avait été confrontés aux terribles Dwels... C'était mieux pour lui, au moins, il n'avait pas souffert !
Son peuple avait fait son deuil aussi. Le Général avais du gérer son empire en attendant les élections du nouveau gouverneur, et la peine qu'avait suscité sa disparition n'avait pas été simple à gérer. Plus de 10 000 suicides ont été enregistrés, 500 000 dépressions et près de 10 millions de lettres de condoléances à sa famille. Inédit dans l'histoire de la Starlight ! Bref, tout le monde avait pleuré sur sa disparition, un enterrement officiel avait eu lieu sur sa planète de naissance et ses habitants fleurissaient régulièrement sa tombe. Mais la vie continuait, et chacun avait repris ses activités habituelles.
Le Général avais fait son deuil. Arlesia n'était plus, mais la roue tourne... Il gardais simplement en lui son optimisme légendaire et son allure charismatique. Aussi, quel ne fut pas son étonnement de croiser ce grand personnage ce matin dans les QG de la Starlight. Il se surpris même à répondre distraitement à son bonjour comme s'il s'agissait d'un commandant quelconque qu'il voyais tous les jours !
J'arpentais les couloirs si familier et qui me semblait en même temps si lointain du QG de la Starlight, des têtes familières circuler dans ce dédale. Lorsque j'arrivais a mes anciens quartiers je remarqué que mon espace avait été transmis a quelqu'un dont j'ignorais jusqu'au nom. Je décidais de poursuivre mon pénible dans le domaine de la bureaucratie. Au détour d'un couloir j'apercevais le commandant en chef Mulot, mon bras se leva automatiquement pour le saluer. Très vite des questions m'assaillirent :
"Je vais être interrogé sur mon absence. Comment vont ils pouvoir me faire confiance ? alors que je dois cacher ma nouvelle nature. S'ils ont attribué mes anciens quartier c'est que je suis censé être mort. Comment expliquer ce qu'il m'est arrivé ?"
Je baissai rapidement ma main et commençait à prendre la direction d'un couloir opposé, afin d'échapper à tous sa. La faim commençait à se faire sentir, il me fallait partir pour la ville, je devais me nourrir, et en même temps il fallait que je reprenne ma place. bien malgré moi, mes pas m'entrai né vers la sortie du QG.
Le Comte Nemus était intrigué. Il venait au QG lire les affiches qui comme d'habitude affluaient dans la Starlight et il vu, dans la rubrique funéraire, funeste rubrique, un homme assez beau, qu'on sentait né pour gouverner et qu'il avait vu, il y a bien longtemps, trop longtemps. L'amiral Arlésia était mort a la guerre et son honneur était sauf.
Cependant, ce qui le fit tiqué, fut qu'il fut presque sûr d'avoir croisé un homme lui ressemblant quasiment trait pour trait dans le couloir d'où il venait, a l'exception de sa blancheur et de la férocité qui ressortait de cet homme.
"Sûrement un cousin en deuil" se dit-il pour se convaincre lui-même
Mais sa mort datait maintenant depuis plusieurs mois et c'était peu probable ...
Il salua machinalement les officiers parcourant le QG et ses pensées l'entraînèrent vers
un couloir sombre, où il crut voir un mouvement. Les Anges ne craignant pas l'ombre, le (Comte poursuivie ce fragment de noirceur et après moult couloirs, ou il finit par courir, autant attiré par la curiosité que le pur réflexe de poursuivre tout ce qui se cache. Et au détour d'un couloir, un de ces nombreux couloirs, il se cogna contre une homme qu'il ne reconnut pas tout de suite et il eut juste le temps de voir qu'il avait perdu son fantôme.
Il grommela un pardon et reconnut, enfin son interlocuteur, Mulot chef de la Light :
"Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs ...
Sais tu comment est mort Arlésia ? Non pas que je n'en ai pas entendu des fragments, mais toujours par la bouche de fou torturés par l'alcool, dans les tavernes des vieux ports ...".
Le Général Mulot venais de croiser Arlesia, et pour un peu, il ne l'aurais même pas remarqué !... Chose curieuse, plutôt que de s'arrêter pour lui parler, Arlesia continua son chemin comme si de rien n'était. Curieux cela... En général, Arlesia ne manquait pas de parler avec son supérieur, et le fait d'avoir été considéré comme mort depuis plusieurs mois était une raison suffisante pour qu'ils s'échangent quelques mots !
Mulot fit donc demi-tour afin de le rattraper ce qui aurait pu être fait en deux secondes si, il ne s'étais pas heurté à l'imposante carrure de Nemus.
Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs... ,me dit-il. Sais tu comment....
Il ne pris pas le temps de lui répondre, et il le dégagea de son chemin d'un mouvement du bras, ce qui l'a projeté un peu brutalement contre le mur. Mais pendant ce temps, Arlesia avait tournée au bout du couloir. Diable, il marche vite !
Mulot s'élança en courant dans l'étroit couloir du QG, et il pu finalement le rattraper 30 mètres plus loin.
Une fois arrivé derrière lui (il ne s'était pas arrêté de marcher), il lançai amicalement un "Alors, quoi de neuf, chef?" et posai simultanément sa main sur l'épaule du fugitif. Mais quelle ne fut pas sa surprise de constater avec horreur qu'elle était froide...
Le Général en chef Mulot arpentait les couloirs du QG de la starlight, sans réellement réfléchir ou ses pas pourrait le mener. L'amiral Arlesia avait disparu depuis maintenant plusieurs mois, et Mulot n'espérais plus son retour. Ce combat face aux Dwels avait été catastrophique... Quelle idée d'entrer sur leur territoire aussi? Arlesia devait bien avoir ses raisons pour mobiliser la moitié de la flotte de la Starlight G4 et la mener à sa perte. Mais il n'était plus là pour nous expliquer son geste.
Pendant longtemps, le Général avais espéré le retrouver un matin, à moitié mort, devant les portes du QG de la Light. Mais aucun doute n'était possible maintenant, Arlesia était mort. Mort dans son vaisseau -- ce qu'il espérais -- ou mort dans les geôles des sinistres Dwels? Peut être l'ont-ils torturés pour obtenir des informations sur la Starlight? C'était ce qu'il redoutais le plus. Certes nous avions bloqués ses accès à notre base de données OGSpy, mais il subsiste toujours un risque de pénétrer notre réseau informatique.
Cependant aucune attaque n'était à déplorer sur nos empires, ce qui confirmait le fait qu'Arlesia avait péri dans son vaisseau et n'avait été confrontés aux terribles Dwels... C'était mieux pour lui, au moins, il n'avait pas souffert !
Son peuple avait fait son deuil aussi. Le Général avais du gérer son empire en attendant les élections du nouveau gouverneur, et la peine qu'avait suscité sa disparition n'avait pas été simple à gérer. Plus de 10 000 suicides ont été enregistrés, 500 000 dépressions et près de 10 millions de lettres de condoléances à sa famille. Inédit dans l'histoire de la Starlight ! Bref, tout le monde avait pleuré sur sa disparition, un enterrement officiel avait eu lieu sur sa planète de naissance et ses habitants fleurissaient régulièrement sa tombe. Mais la vie continuait, et chacun avait repris ses activités habituelles.
Le Général avais fait son deuil. Arlesia n'était plus, mais la roue tourne... Il gardais simplement en lui son optimisme légendaire et son allure charismatique. Aussi, quel ne fut pas son étonnement de croiser ce grand personnage ce matin dans les QG de la Starlight. Il se surpris même à répondre distraitement à son bonjour comme s'il s'agissait d'un commandant quelconque qu'il voyais tous les jours !
J'arpentais les couloirs si familier et qui me semblait en même temps si lointain du QG de la Starlight, des têtes familières circuler dans ce dédale. Lorsque j'arrivais a mes anciens quartiers je remarqué que mon espace avait été transmis a quelqu'un dont j'ignorais jusqu'au nom. Je décidais de poursuivre mon pénible dans le domaine de la bureaucratie. Au détour d'un couloir j'apercevais le commandant en chef Mulot, mon bras se leva automatiquement pour le saluer. Très vite des questions m'assaillirent :
"Je vais être interrogé sur mon absence. Comment vont ils pouvoir me faire confiance ? alors que je dois cacher ma nouvelle nature. S'ils ont attribué mes anciens quartier c'est que je suis censé être mort. Comment expliquer ce qu'il m'est arrivé ?"
Je baissai rapidement ma main et commençait à prendre la direction d'un couloir opposé, afin d'échapper à tous sa. La faim commençait à se faire sentir, il me fallait partir pour la ville, je devais me nourrir, et en même temps il fallait que je reprenne ma place. bien malgré moi, mes pas m'entrai né vers la sortie du QG.
Le Comte Nemus était intrigué. Il venait au QG lire les affiches qui comme d'habitude affluaient dans la Starlight et il vu, dans la rubrique funéraire, funeste rubrique, un homme assez beau, qu'on sentait né pour gouverner et qu'il avait vu, il y a bien longtemps, trop longtemps. L'amiral Arlésia était mort a la guerre et son honneur était sauf.
Cependant, ce qui le fit tiqué, fut qu'il fut presque sûr d'avoir croisé un homme lui ressemblant quasiment trait pour trait dans le couloir d'où il venait, a l'exception de sa blancheur et de la férocité qui ressortait de cet homme.
"Sûrement un cousin en deuil" se dit-il pour se convaincre lui-même
Mais sa mort datait maintenant depuis plusieurs mois et c'était peu probable ...
Il salua machinalement les officiers parcourant le QG et ses pensées l'entraînèrent vers
un couloir sombre, où il crut voir un mouvement. Les Anges ne craignant pas l'ombre, le (Comte poursuivie ce fragment de noirceur et après moult couloirs, ou il finit par courir, autant attiré par la curiosité que le pur réflexe de poursuivre tout ce qui se cache. Et au détour d'un couloir, un de ces nombreux couloirs, il se cogna contre une homme qu'il ne reconnut pas tout de suite et il eut juste le temps de voir qu'il avait perdu son fantôme.
Il grommela un pardon et reconnut, enfin son interlocuteur, Mulot chef de la Light :
"Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs ...
Sais tu comment est mort Arlésia ? Non pas que je n'en ai pas entendu des fragments, mais toujours par la bouche de fou torturés par l'alcool, dans les tavernes des vieux ports ...".
Le Général Mulot venais de croiser Arlesia, et pour un peu, il ne l'aurais même pas remarqué !... Chose curieuse, plutôt que de s'arrêter pour lui parler, Arlesia continua son chemin comme si de rien n'était. Curieux cela... En général, Arlesia ne manquait pas de parler avec son supérieur, et le fait d'avoir été considéré comme mort depuis plusieurs mois était une raison suffisante pour qu'ils s'échangent quelques mots !
Mulot fit donc demi-tour afin de le rattraper ce qui aurait pu être fait en deux secondes si, il ne s'étais pas heurté à l'imposante carrure de Nemus.
Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs... ,me dit-il. Sais tu comment....
Il ne pris pas le temps de lui répondre, et il le dégagea de son chemin d'un mouvement du bras, ce qui l'a projeté un peu brutalement contre le mur. Mais pendant ce temps, Arlesia avait tournée au bout du couloir. Diable, il marche vite !
Mulot s'élança en courant dans l'étroit couloir du QG, et il pu finalement le rattraper 30 mètres plus loin.
Une fois arrivé derrière lui (il ne s'était pas arrêté de marcher), il lançai amicalement un "Alors, quoi de neuf, chef?" et posai simultanément sa main sur l'épaule du fugitif. Mais quelle ne fut pas sa surprise de constater avec horreur qu'elle était froide...
Partie 6
J'allais sortir, il fallait que je sorte. La soif, devait être appésée. Je sentis un contact sur mon épaule qui me ramena à la réalité. Je tournais la tête pour voir qui m'avait attrapé de la sorte, prés à frapper l'impudent pour son geste. Je retins mon coup en remarquant qu'il s'agissait de Mulot. Il m'avait donc suivi, rien d'étonnant de sa part. Je devait me rendre en ville, il fallait que je me nourrisse. Mes tempes semblaient maltraitées, la veine qui parcourait son cou se faisait plus pressente a mon regard. Il me reformula sa question :
"Alors, quoi de neuf, chef?"
Comment m'esquiver ? Je remarquait son mouvement de recul. Mes yeux trahissaient un coté étrange chez moi, et il venait de le voir, sans compter que sans m'être nourrit mon teint avait une apparence plutot laiteuse. Les questions allaient pleuvoir et je ne pouvais me permettre de rentrer en frénésie. Je lui souris, en commençant a bredouiller quelques chose :
"ah...Mulot, je veux dire Commandant en chef ! Cela faisait longtemps. Je suis navré, je ne peux pas parler maintenant, il faut que je me rende en ville pour terminer une transaction des plus importantes. mais je te promet de revenir le plus vite possible pour que nous ayons une discutions."
Je lui sourit a nouveau en lui serrant la main avant de me retourner vers la sortie du QG. Je m'étais arraché a l'étreinte de Mulot et j'étais parti me nourrir en ville. Je trouvais une boucherie et par chance je pu dérober quelques litres de sang. On ne m'avait pas remarqué et je pu étanché ma soif. Je retournais dans le QG en espérant trouvé l'un des chefs, mais j'avais beau arpenté les couloirs, je ne reconnaissait personne, ou se trouvait donc tous ceux qui avait fait la grandeur de la Starlight. j'avais l'impression que des siècles c'était écoulé et que je me trouvais dans un musée, dont j'étais une pièce parmi d'autres dans cet immense dédale d'oeuvre d'art.
Je me mit à marcher dans les couloirs tel un fantôme, perdu dans mes pensées, et ne prêtant attention à quiconque se trouvant à mes cotés.
Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine se rendait pour la première fois dans le QG de la starlight où, en vu de ces derniers exploits dans le cadre des batailles contre les kannis dans le système solaire de Limo devait se voir remettre un nouveau grade, une nouvelle affectation en tant que second de l'amiral Nervada l'élu pour la succession du défunt amiral Arlesia et le commandement de plusieurs bataillon de chasseur lourd ce qui était une première pour un si jeune officier dans l'histoire de la starlight.
Il devait rencontrer le contre-amiral Hitoki pour officialiser sa nouvelle fonction quand son regard fut accroché par un homme au teint livide et légèrement recourbé sur lui même,cet homme ressemblait étrangement au défunt Arlesia, amiral de renommé chez qui il avait toujours souhaitait servir.
Son capitaine semblait également troublé et s'avança vers l'homme et dit :
monsieur....vous n'êtes tout de même pas....
l'homme releva la tête et...........
Arlesia entendit une voie qui le fit sortir de sa torpeur. Son regard se porta tout d'abord sur un jeune homme, son teint avait légèrement passé, comme s'il venait de voir un mort.
J'eus l'impression de me voir dans un miroir, puis j'entendis la question fatidique. Je me redressait et prit une stature plus militaire, jaugeant le jeune officier qui se trouvait devant moi.
Ce que j'en vit me satisfaisait, ce jeune semblait né pour diriger. La stupeur passé il reposa sa question et je m'éclairais la voie avant de répondre :
"Bonjour, je suis l'amiral Arlesia. et oui c'est bel et bien moi. A qui aie je l'honneur ? "
Ne laissant pas l'officier répondre il enchaîna :
"vous n'avez qu'a m'accompagner jusqu'au bureau administratif afin que mon nom soit réhabilité, ainsi vous pourrez me dire ce que j'ai manquer en mon absence forcée"
et il lui emboîta le pas.
J'allais sortir, il fallait que je sorte. La soif, devait être appésée. Je sentis un contact sur mon épaule qui me ramena à la réalité. Je tournais la tête pour voir qui m'avait attrapé de la sorte, prés à frapper l'impudent pour son geste. Je retins mon coup en remarquant qu'il s'agissait de Mulot. Il m'avait donc suivi, rien d'étonnant de sa part. Je devait me rendre en ville, il fallait que je me nourrisse. Mes tempes semblaient maltraitées, la veine qui parcourait son cou se faisait plus pressente a mon regard. Il me reformula sa question :
"Alors, quoi de neuf, chef?"
Comment m'esquiver ? Je remarquait son mouvement de recul. Mes yeux trahissaient un coté étrange chez moi, et il venait de le voir, sans compter que sans m'être nourrit mon teint avait une apparence plutot laiteuse. Les questions allaient pleuvoir et je ne pouvais me permettre de rentrer en frénésie. Je lui souris, en commençant a bredouiller quelques chose :
"ah...Mulot, je veux dire Commandant en chef ! Cela faisait longtemps. Je suis navré, je ne peux pas parler maintenant, il faut que je me rende en ville pour terminer une transaction des plus importantes. mais je te promet de revenir le plus vite possible pour que nous ayons une discutions."
Je lui sourit a nouveau en lui serrant la main avant de me retourner vers la sortie du QG. Je m'étais arraché a l'étreinte de Mulot et j'étais parti me nourrir en ville. Je trouvais une boucherie et par chance je pu dérober quelques litres de sang. On ne m'avait pas remarqué et je pu étanché ma soif. Je retournais dans le QG en espérant trouvé l'un des chefs, mais j'avais beau arpenté les couloirs, je ne reconnaissait personne, ou se trouvait donc tous ceux qui avait fait la grandeur de la Starlight. j'avais l'impression que des siècles c'était écoulé et que je me trouvais dans un musée, dont j'étais une pièce parmi d'autres dans cet immense dédale d'oeuvre d'art.
Je me mit à marcher dans les couloirs tel un fantôme, perdu dans mes pensées, et ne prêtant attention à quiconque se trouvant à mes cotés.
Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine se rendait pour la première fois dans le QG de la starlight où, en vu de ces derniers exploits dans le cadre des batailles contre les kannis dans le système solaire de Limo devait se voir remettre un nouveau grade, une nouvelle affectation en tant que second de l'amiral Nervada l'élu pour la succession du défunt amiral Arlesia et le commandement de plusieurs bataillon de chasseur lourd ce qui était une première pour un si jeune officier dans l'histoire de la starlight.
Il devait rencontrer le contre-amiral Hitoki pour officialiser sa nouvelle fonction quand son regard fut accroché par un homme au teint livide et légèrement recourbé sur lui même,cet homme ressemblait étrangement au défunt Arlesia, amiral de renommé chez qui il avait toujours souhaitait servir.
Son capitaine semblait également troublé et s'avança vers l'homme et dit :
monsieur....vous n'êtes tout de même pas....
l'homme releva la tête et...........
Arlesia entendit une voie qui le fit sortir de sa torpeur. Son regard se porta tout d'abord sur un jeune homme, son teint avait légèrement passé, comme s'il venait de voir un mort.
J'eus l'impression de me voir dans un miroir, puis j'entendis la question fatidique. Je me redressait et prit une stature plus militaire, jaugeant le jeune officier qui se trouvait devant moi.
Ce que j'en vit me satisfaisait, ce jeune semblait né pour diriger. La stupeur passé il reposa sa question et je m'éclairais la voie avant de répondre :
"Bonjour, je suis l'amiral Arlesia. et oui c'est bel et bien moi. A qui aie je l'honneur ? "
Ne laissant pas l'officier répondre il enchaîna :
"vous n'avez qu'a m'accompagner jusqu'au bureau administratif afin que mon nom soit réhabilité, ainsi vous pourrez me dire ce que j'ai manquer en mon absence forcée"
et il lui emboîta le pas.
Partie 7
Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine suivirent l'amiral Arlesia en lui expliquant que depuis sa disparition l'amiral Nervada avait repris les fonctions qu'occupa Arlésia. Le capitaine raconta les exploits du lieutenant Napoléon lors des batailles contre les kannis, il expliqua qu'il accompagnais le jeune lieutenant au QG de la starlight ou on devait lui confié le poste de second de l'amiral Nervada.
L'amiral Arlesia avançait à grande vitesse et les deux sous-officiers arrivait à grand peine à le suivre. Arlesia semblait écouter tout en cherchant quelque chose de bien précis. Il s'était fait abordé par un gros goinfre qui parlait la bouche pleine et n'avais pas daigné répondre, il avançait toujours tous droit. C'est alors que Napoléon reconnu la galerie des victoires guerrière qu'il n'avais vu qu'en photo, tous les grand nom de la starlight y figuré accompagné de HOF, Napoléon vit inscrit le nom d'Hitoki, de Ricardo, de Mulot et de plein d'autre emblème de la starlight. Arlesia continuait de s'enfoncer dans les profondeur du QG.
Arlésia continuait à poursuivre son chemin, il écoutait avec une facilité déconcertante le discours de Napoléon, même si les bruits du couloir auraient pu faire penser qu'il se moquait de ce racontait le jeune officier.
Ils arrivèrent enfin au bureau des affaires militaires, et je me rendit directement dans le bureau du gradé, sans me faire annoncé, bien entendu. Napoléon, s'était arrêtait de parler, il attendait dans la salle annexe. Je me retournait et fit signe à l'officier de me suivre dans le bureau. Le sergent qui se trouvait derrière son bureau se figea un instant, il allait se lever et mettre tout ce beau monde dehors quand il remarqua qu'il avait à faire à un Amiral.
« Bonjour mon Amiral. Que puis je faire pour vous ?
-C'est très simple, j'ai été retenu prisonnier sur une planète extérieure et malheureusement vous avez classé mon dossier dans les victimes. Bref, pour l'armé je suis mort alors que ce n'est pas le cas. Je souhaiterais que vous corrigiez cela dans les plus brefs délai. Mon nom est Arlesia et mon numéro de matricule est le QC98X852 - CIN »
Le sergent nota tout ce que je lui dit et se mit au travail, je n'attendit pas de réponse favorable du bureaucrate qu'il était et sortit du bureau. Je fit signe à Napoléon de continuer ses récits tout en m'avançant dans les couloirs de l'administration militaire, véritable labyrinthe des démarches pompeuses. J'arrivais au bureau des mutations et refit le spectacle de me rendre directement dans le bureau du colonel. Mais là quel ne fut pas ma surprise lorsque je pénétrai dans ce bureau. Derrière celui-ci, se trouvait mon ancien second. Il avait bien changé. Il lui manqué un oeil, sa jambe avait dû subir de grave traumatisme pour qu'il se lève à l'aide d'une canne.
Je restait figé l'espace d'une minute, avant de m'avancer et de lui tourner une droite. Napoléon assista à tous sa un peu peunot :
« Depuis quand vous permettez vous d'assommer vos officiers supérieurs avant de prendre leur place ? Et comment diable avez vous survécu ?
-Je... euh ... Je vous retourne votre question. Pour être bref, j'ai réussit à prendre la dernière capsule de sauvetage avant l'impact. Malheureusement, elle fut endommagé et moi avec, pendant que le Chariot de Feu explosait sur le vaisseau adverse. Maintenant je ne suis plus bon pour le service actif comme ils disent... Je ne suis plus bon qu'à la paperasse.
-Je vois, après votre service vous me raconterez tous devant un verre, et bien entendu c'est vous qui invité. Pour le moment, ce jeune officier doit être muté auprès de l'amiral Nervada. Vous allez faire en sorte qu'il deviennent mon second, bien entendu dés que j'aurais été réhabilité »
Je me retournait et commençait à quitter la pièce, puis avant de franchir le seuil, je lui dit une dernière chose :
« Je suis ravi que vous soyez en vie, mais à l'avenir ne refaite plus jamais un acte aussi insensé, ce sont les officiers supérieurs qui doivent se sacrifier pour leurs hommes et pas l'inverse ! »
Une fois dans le couloir je me retournait vers Napoléon :
« Je vais vous laisser vaquer à vos occupations, en espérant que vous soyez prés pour vos nouvelles fonctions »
Puis je parti à nouveau dans les méandre administratives en espérant tomber sur Mulot
Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine suivirent l'amiral Arlesia en lui expliquant que depuis sa disparition l'amiral Nervada avait repris les fonctions qu'occupa Arlésia. Le capitaine raconta les exploits du lieutenant Napoléon lors des batailles contre les kannis, il expliqua qu'il accompagnais le jeune lieutenant au QG de la starlight ou on devait lui confié le poste de second de l'amiral Nervada.
L'amiral Arlesia avançait à grande vitesse et les deux sous-officiers arrivait à grand peine à le suivre. Arlesia semblait écouter tout en cherchant quelque chose de bien précis. Il s'était fait abordé par un gros goinfre qui parlait la bouche pleine et n'avais pas daigné répondre, il avançait toujours tous droit. C'est alors que Napoléon reconnu la galerie des victoires guerrière qu'il n'avais vu qu'en photo, tous les grand nom de la starlight y figuré accompagné de HOF, Napoléon vit inscrit le nom d'Hitoki, de Ricardo, de Mulot et de plein d'autre emblème de la starlight. Arlesia continuait de s'enfoncer dans les profondeur du QG.
Arlésia continuait à poursuivre son chemin, il écoutait avec une facilité déconcertante le discours de Napoléon, même si les bruits du couloir auraient pu faire penser qu'il se moquait de ce racontait le jeune officier.
Ils arrivèrent enfin au bureau des affaires militaires, et je me rendit directement dans le bureau du gradé, sans me faire annoncé, bien entendu. Napoléon, s'était arrêtait de parler, il attendait dans la salle annexe. Je me retournait et fit signe à l'officier de me suivre dans le bureau. Le sergent qui se trouvait derrière son bureau se figea un instant, il allait se lever et mettre tout ce beau monde dehors quand il remarqua qu'il avait à faire à un Amiral.
« Bonjour mon Amiral. Que puis je faire pour vous ?
-C'est très simple, j'ai été retenu prisonnier sur une planète extérieure et malheureusement vous avez classé mon dossier dans les victimes. Bref, pour l'armé je suis mort alors que ce n'est pas le cas. Je souhaiterais que vous corrigiez cela dans les plus brefs délai. Mon nom est Arlesia et mon numéro de matricule est le QC98X852 - CIN »
Le sergent nota tout ce que je lui dit et se mit au travail, je n'attendit pas de réponse favorable du bureaucrate qu'il était et sortit du bureau. Je fit signe à Napoléon de continuer ses récits tout en m'avançant dans les couloirs de l'administration militaire, véritable labyrinthe des démarches pompeuses. J'arrivais au bureau des mutations et refit le spectacle de me rendre directement dans le bureau du colonel. Mais là quel ne fut pas ma surprise lorsque je pénétrai dans ce bureau. Derrière celui-ci, se trouvait mon ancien second. Il avait bien changé. Il lui manqué un oeil, sa jambe avait dû subir de grave traumatisme pour qu'il se lève à l'aide d'une canne.
Je restait figé l'espace d'une minute, avant de m'avancer et de lui tourner une droite. Napoléon assista à tous sa un peu peunot :
« Depuis quand vous permettez vous d'assommer vos officiers supérieurs avant de prendre leur place ? Et comment diable avez vous survécu ?
-Je... euh ... Je vous retourne votre question. Pour être bref, j'ai réussit à prendre la dernière capsule de sauvetage avant l'impact. Malheureusement, elle fut endommagé et moi avec, pendant que le Chariot de Feu explosait sur le vaisseau adverse. Maintenant je ne suis plus bon pour le service actif comme ils disent... Je ne suis plus bon qu'à la paperasse.
-Je vois, après votre service vous me raconterez tous devant un verre, et bien entendu c'est vous qui invité. Pour le moment, ce jeune officier doit être muté auprès de l'amiral Nervada. Vous allez faire en sorte qu'il deviennent mon second, bien entendu dés que j'aurais été réhabilité »
Je me retournait et commençait à quitter la pièce, puis avant de franchir le seuil, je lui dit une dernière chose :
« Je suis ravi que vous soyez en vie, mais à l'avenir ne refaite plus jamais un acte aussi insensé, ce sont les officiers supérieurs qui doivent se sacrifier pour leurs hommes et pas l'inverse ! »
Une fois dans le couloir je me retournait vers Napoléon :
« Je vais vous laisser vaquer à vos occupations, en espérant que vous soyez prés pour vos nouvelles fonctions »
Puis je parti à nouveau dans les méandre administratives en espérant tomber sur Mulot
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- Verrouilleur fou
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- Enregistré le : 22:12:27 (14/04/07)
- Localisation : sur mon trône
(Escuse moi,pour continuer l'histoire je n'ai pas compris si il fallait poster sur ce topic ou l'ancien)
Napoléon,un peu alarmé devant cette situation mais également très fier de pouvoir servir un amiral de renomé aida l'ancien second à se relever suite à la droite qu'il s'était pris.Un peu sonner l'homme le remmercia et dit qu'il allait s'occuper de suite de son dossier,Il s'assit à son bureau et envoya un mail à hitoki pour indiquer qu'il s'occupait du dossier du jeune lieutenant.Le capitaine alla félicité Napoléon pour son nouveau grade,il lui dit également qu'il devait partir car on venait de l'imformer qu'un conflit venait de commencer dans le secteur sous le contrôle de l'amiral ricardo,amiral sous qui il servait.
Napoléon saluat son mentor qui lui avait beaucoup appris à l'eppoque ou il était encore caporal en lui disant:
"J'éspère vous revoir vite,peut être lors d'une attaque groupée.Je sais que l'amiral arlesia s'entend très bien avec l'amiral ricardo"
Le capitaine lui serra la main et sortit de la sale ou l'ex-second s'affairai à éssayer de comprendre comment il allait attribuer un rôle de second à un jeune officier sous les ordre de quelqu'un cencé être mort.
Napoléon,un peu alarmé devant cette situation mais également très fier de pouvoir servir un amiral de renomé aida l'ancien second à se relever suite à la droite qu'il s'était pris.Un peu sonner l'homme le remmercia et dit qu'il allait s'occuper de suite de son dossier,Il s'assit à son bureau et envoya un mail à hitoki pour indiquer qu'il s'occupait du dossier du jeune lieutenant.Le capitaine alla félicité Napoléon pour son nouveau grade,il lui dit également qu'il devait partir car on venait de l'imformer qu'un conflit venait de commencer dans le secteur sous le contrôle de l'amiral ricardo,amiral sous qui il servait.
Napoléon saluat son mentor qui lui avait beaucoup appris à l'eppoque ou il était encore caporal en lui disant:
"J'éspère vous revoir vite,peut être lors d'une attaque groupée.Je sais que l'amiral arlesia s'entend très bien avec l'amiral ricardo"
Le capitaine lui serra la main et sortit de la sale ou l'ex-second s'affairai à éssayer de comprendre comment il allait attribuer un rôle de second à un jeune officier sous les ordre de quelqu'un cencé être mort.