Rédemption
Rédemption
[align=justify]Je marchais sur le pont principal du chariot de feu, l'équipage était en émois. Nous étions assaillit de toutes part et le vaisseau avait déjà subit plusieurs avaries plutôt sérieuses.
« Quels sont les pronostics pour un passage en vitesse lumières ?
- le bouclier est Hors Services, la coques est endommagées, la salle des machines a subit plusieurs tirs. Nous perdons de l'oxygène a tribord et babord dans les secteurs 5, 7 ,9, 15 et 26.... »
une nouvelle secouse me fit basculer, le signal d'urgence se déclancha indiquant que le vaisseaux se présentait plus comme une épave qu'un navire digne de ce nom.
« Amiral, les moteurs babord ont été détruits et l'oxygène sans échappe.
- Fermez les écoutilles sur les ponts C, D, F et G ! coupez les alimentation en oxygènes de ces secteurs. Et mettez moi en haut parleur sur le champ !
- A vos ordres Amiral...communication établie sur tout le vaisseaux.
- Ici votre amiral, nous subissont trop de dommage, je demande à tout l'équipage de quitter le navire. Rejoignez les navettes de secours sur le champs. Terminer ! »
Je me posais sur mon siége, cette bataille qui devait être gagné d'avance fut un vrai désastre. Je me tourné vers le second et le regarda dans les yeux :
« En coupant l'énergie, sur les secteur évacué, et en alimentant au minimum le reste du vaisseau serait il possible de refaire fonctionner suffisament le bouclier pour qu'il puisse éperonner le vaisseau amiral de la flotte adversaire.
- Euh...oui, bien sur, mais...amiral...vous n'allez tout de meme pas ...
- alors faites le et que tout le monde ici quitte le vaisseau sur le champ. C'est un ordre ! »
les Officiers du pont supérieur se mirent au garde a vous avant d'éxécuter les ordres de l'amiral Arlesia et de quitter la passerelle.
Je m'assis au commande, il fallait que mon plan marche suffisament longtemps pour que l'équipage puisse rentrer en basse atmosphère et être ainsi protéger par les défenses planétaires. Je pris les commande et commençait les manoeuvres. Le vaisseaux se mit en branle et les bouclier encaissèrent facilement les tirs des chasseurs adverses. Le vaisseau amiral se mit à tirer, faisant diminuer la puissance du bouclier, mais le chariot de feu ne s'arreta pas !
Je ne sentis pas le coup venir, on m'assoma. Je me réveiller dans une cellule. Je vis que je n'étais pas seul, l'un de mes officiers du pont supérieur se trouvait avec moi. Il me regardait, espérant que je puisse le réconforter dans une tel situation.
« Que c'est il passer ?
- Le second nous a demander d'attendre quand on allait partir, puis il a pris plusieurs hommes avec lui. Ils sont partis vous chercher amiral, et lorsqu'ils sont revenus, le second manqués et vous étiez assomé. On est parti a ce moment. Le chariot de feur est rentrer en colision avec le vaisseau amiral adverse, mais nous avons été récupéré par un rayon tracteur sur un croseur ennemis. »
Je me maudissé d'avoir choisit un tel second, plus tétus qu'une mule. Mais il était mort maintenant et je ne pouvais plus rien faire pour lui.
La suite bientot[/align]
« Quels sont les pronostics pour un passage en vitesse lumières ?
- le bouclier est Hors Services, la coques est endommagées, la salle des machines a subit plusieurs tirs. Nous perdons de l'oxygène a tribord et babord dans les secteurs 5, 7 ,9, 15 et 26.... »
une nouvelle secouse me fit basculer, le signal d'urgence se déclancha indiquant que le vaisseaux se présentait plus comme une épave qu'un navire digne de ce nom.
« Amiral, les moteurs babord ont été détruits et l'oxygène sans échappe.
- Fermez les écoutilles sur les ponts C, D, F et G ! coupez les alimentation en oxygènes de ces secteurs. Et mettez moi en haut parleur sur le champ !
- A vos ordres Amiral...communication établie sur tout le vaisseaux.
- Ici votre amiral, nous subissont trop de dommage, je demande à tout l'équipage de quitter le navire. Rejoignez les navettes de secours sur le champs. Terminer ! »
Je me posais sur mon siége, cette bataille qui devait être gagné d'avance fut un vrai désastre. Je me tourné vers le second et le regarda dans les yeux :
« En coupant l'énergie, sur les secteur évacué, et en alimentant au minimum le reste du vaisseau serait il possible de refaire fonctionner suffisament le bouclier pour qu'il puisse éperonner le vaisseau amiral de la flotte adversaire.
- Euh...oui, bien sur, mais...amiral...vous n'allez tout de meme pas ...
- alors faites le et que tout le monde ici quitte le vaisseau sur le champ. C'est un ordre ! »
les Officiers du pont supérieur se mirent au garde a vous avant d'éxécuter les ordres de l'amiral Arlesia et de quitter la passerelle.
Je m'assis au commande, il fallait que mon plan marche suffisament longtemps pour que l'équipage puisse rentrer en basse atmosphère et être ainsi protéger par les défenses planétaires. Je pris les commande et commençait les manoeuvres. Le vaisseaux se mit en branle et les bouclier encaissèrent facilement les tirs des chasseurs adverses. Le vaisseau amiral se mit à tirer, faisant diminuer la puissance du bouclier, mais le chariot de feu ne s'arreta pas !
Je ne sentis pas le coup venir, on m'assoma. Je me réveiller dans une cellule. Je vis que je n'étais pas seul, l'un de mes officiers du pont supérieur se trouvait avec moi. Il me regardait, espérant que je puisse le réconforter dans une tel situation.
« Que c'est il passer ?
- Le second nous a demander d'attendre quand on allait partir, puis il a pris plusieurs hommes avec lui. Ils sont partis vous chercher amiral, et lorsqu'ils sont revenus, le second manqués et vous étiez assomé. On est parti a ce moment. Le chariot de feur est rentrer en colision avec le vaisseau amiral adverse, mais nous avons été récupéré par un rayon tracteur sur un croseur ennemis. »
Je me maudissé d'avoir choisit un tel second, plus tétus qu'une mule. Mais il était mort maintenant et je ne pouvais plus rien faire pour lui.
La suite bientot[/align]
Modifié en dernier par Invité le 00:29:55 (29/05/07), modifié 2 fois.
[align=justify]On ouvrit la porte et quatre gardes armés rentrèrent a ce moment pour prendre l'officier et l'emmener. Plusieurs heures sécoulèrent avant que les gardes ne ramènent l'officier, il gisait entre les bras des gardes. Ils le jettèrent sans ménagement sur sa couchette et ressortir.
Je m'approchais de lui et le regardais :
« Que veulent ils savoir?
- Je n'en sais rien, ils n'ont posés aucune questions. Ils m'ont juste torturés. J'ai cru mourir »
La porte s'ouvrit et c'est moi qu'il vinrent chercher. Ils m'emmenèrent dans une salle totalement stérille, ou je ne pu rien faire pour m'échapper. Ils m'attachèrent sur une chaise et me sanglèrent. Quelques minutes plus tard un homme rentra et fit sortir mes tortionnaires.
« Bonsoir Amiral Arlesia, vous nous avez donné du mal. Nous aurions pu vous capturer plus facilement et avec moins de dommage pour vos hommes si vous vous étiez laisser faire.
- et pourquoi j'aurais fait sa ! Et puis qui êtes vous ? »
L'homme s'avança jusqu'à moi et se pencha vers mon oreil :
« sa n'a pas d'impportance. Tout ce que nous voulions c'est vous, car nous avons des vus sur vous. »
il se tû, et je sentis une vive douleur dans mon coup. Tout s'embrouilla ensuite, il fit de plus en plus sombre et je me réveillez dans ma cellule. L'officier était toujours alongé, il avait du recevoir un traitement de choc car il ne pouvait plus bouger. Je m'approchais de lui. Son corps ne semblait plus que plaie et meurtrisurent. En le voyant une envie me pris et je ne put me retenir. Mes lèvres s'approchèrent d'une des plaies et je commencais a la lécher. Le sang qui s'y trouvait dessus, me firent l'effet d'une gorgée d'un nectar interdit. Je me reculais a nouveau. J'étais assis au pied de mon lit, en train de regarder cet homme. Une seule choses me martelais le cerveau. J'avais envie de recommencer l'expèrience. Bien malgré moi, je me levais et me rassit sur le coin du lit de mon compagnon de cellule. Je pris délicatement son bras et rapprochais une des plaies de ma bouche. Instinctivement mes dents se plantèrent et je ne put m'arreter de boire. Oui ! Je buvais du sang et j'en trouvais le goût exquis et sans équivalent. Je ne pus m'arrêter et je découvris que je venais de le tuez. J'étais devenus un vampire, un buveur de sang. On venait de me maudir, moi un ancien ange, je venais de sombrer dans les ténèbres.
Je me relevais dégouté de ce que je venais de faire. Je m'approcher de la porte et y donnait un coup d'épaule. Le bois céda si facilement. J'avais l'impression de plier du carton. Les deux gardes se mirent en position devant moi, et commençèrent a prendre leurs blaster. Leur mouvement me semblaient si lent. Je me faufilait derrière le premier garde sans qu'il puissent réagir et je pris sa tête de manière a lui briser la nuque. Le craquement des os sonnèrent séchement dans mes oreils avant que je réalise que j'avais fait faire un 180° a sa tête. Le tir du deuxième garde m'érafla la joue. Je réagis par instinct et lui découcher un direct. Les os de son crane craquèrent sous l'impact et le garde tomba raide mort a mes pieds.
Je pris les deux corps et les emmenaient dans la cellules avant de prendre l'uniforme d'un garde. Une fois que la tenue fut enfilé, je pris la direction d'un couloir en espérant qu'il me ménerait vers la sortie. J'eus vraiment de la chance, car je l'a trouvait du premier coup. On me laissa sortir, je venais de les duper, en me faisant passer pour l'un d'eux et les grilles de la prison s'ouvrir devant moi...[/align]
La suite bientot...
Je m'approchais de lui et le regardais :
« Que veulent ils savoir?
- Je n'en sais rien, ils n'ont posés aucune questions. Ils m'ont juste torturés. J'ai cru mourir »
La porte s'ouvrit et c'est moi qu'il vinrent chercher. Ils m'emmenèrent dans une salle totalement stérille, ou je ne pu rien faire pour m'échapper. Ils m'attachèrent sur une chaise et me sanglèrent. Quelques minutes plus tard un homme rentra et fit sortir mes tortionnaires.
« Bonsoir Amiral Arlesia, vous nous avez donné du mal. Nous aurions pu vous capturer plus facilement et avec moins de dommage pour vos hommes si vous vous étiez laisser faire.
- et pourquoi j'aurais fait sa ! Et puis qui êtes vous ? »
L'homme s'avança jusqu'à moi et se pencha vers mon oreil :
« sa n'a pas d'impportance. Tout ce que nous voulions c'est vous, car nous avons des vus sur vous. »
il se tû, et je sentis une vive douleur dans mon coup. Tout s'embrouilla ensuite, il fit de plus en plus sombre et je me réveillez dans ma cellule. L'officier était toujours alongé, il avait du recevoir un traitement de choc car il ne pouvait plus bouger. Je m'approchais de lui. Son corps ne semblait plus que plaie et meurtrisurent. En le voyant une envie me pris et je ne put me retenir. Mes lèvres s'approchèrent d'une des plaies et je commencais a la lécher. Le sang qui s'y trouvait dessus, me firent l'effet d'une gorgée d'un nectar interdit. Je me reculais a nouveau. J'étais assis au pied de mon lit, en train de regarder cet homme. Une seule choses me martelais le cerveau. J'avais envie de recommencer l'expèrience. Bien malgré moi, je me levais et me rassit sur le coin du lit de mon compagnon de cellule. Je pris délicatement son bras et rapprochais une des plaies de ma bouche. Instinctivement mes dents se plantèrent et je ne put m'arreter de boire. Oui ! Je buvais du sang et j'en trouvais le goût exquis et sans équivalent. Je ne pus m'arrêter et je découvris que je venais de le tuez. J'étais devenus un vampire, un buveur de sang. On venait de me maudir, moi un ancien ange, je venais de sombrer dans les ténèbres.
Je me relevais dégouté de ce que je venais de faire. Je m'approcher de la porte et y donnait un coup d'épaule. Le bois céda si facilement. J'avais l'impression de plier du carton. Les deux gardes se mirent en position devant moi, et commençèrent a prendre leurs blaster. Leur mouvement me semblaient si lent. Je me faufilait derrière le premier garde sans qu'il puissent réagir et je pris sa tête de manière a lui briser la nuque. Le craquement des os sonnèrent séchement dans mes oreils avant que je réalise que j'avais fait faire un 180° a sa tête. Le tir du deuxième garde m'érafla la joue. Je réagis par instinct et lui découcher un direct. Les os de son crane craquèrent sous l'impact et le garde tomba raide mort a mes pieds.
Je pris les deux corps et les emmenaient dans la cellules avant de prendre l'uniforme d'un garde. Une fois que la tenue fut enfilé, je pris la direction d'un couloir en espérant qu'il me ménerait vers la sortie. J'eus vraiment de la chance, car je l'a trouvait du premier coup. On me laissa sortir, je venais de les duper, en me faisant passer pour l'un d'eux et les grilles de la prison s'ouvrir devant moi...[/align]
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Modifié en dernier par Invité le 09:08:11 (29/05/07), modifié 1 fois.
[align=justify]Je commençais à arpenter les rues, une envie me tenailler l'estomac. J'étais dans une foulle et leur contact était une torture pour moi. Je ne pouvais faire un pas sans percuter une personne, le contact avec les gens, sentir l'odeur de leur corps, le parfum suave de leur peau me donnait le tourni. Je chancelais comme un alcoolique, je finis dans une ruelle ou je me mis à vomir tout ce que j'avais pu ingérer. Je sombrais dans un semi coma, je vis une ombre se raprocher de moi, je fermais les yeux cinq minutes le temps que les battements que je ressentais dans ma tête cessent. Lorsque je rouvris les yeux je pu remarqué que plusieurs heures c'était écoulé, alors que j'avais l'impression d'avoir fait un simple battement de cil. Je repris le peu d'esprit qu'il me restait et remarqué que l'on m'avait fait les poches et pris mes chaussures. J'avais plus l'allure d'un SDF que celui d'un amiral de la flotte de la corporation Light. Mon soucis pour le moment était de pouvoir m'échapper de cette planéte. Mon évasion n'avait pas du passer inaperçue et je devais me méfier de qui que se soit et trouver un vaisseau au plus vite. C'est a ce moment qu'un homme vint me voir. Il n'était pas mieux vétu que moi, a la différence que je ne ressentais pas pour lui la meme envie de lui déchirer la gorge avec mes dents.
« Bonsoir, n'ais pas peur je ne te veux aucun mal.
- Ce n'est pas le sentiment que vos amis mon laissait. Ma voie trahissait ma peur.
- Tu traverse une phase qu'il va te falloir surmonter. Si tu veux apprendre suis moi. »
Il n'attendit pas que je réponde et reparti dans la direction opposé, s'enfoncant dans la ruelle sombre. Je me levais, et commençais à prendre la direction opposé, j'arrivais dans la rue principal et je remarqué que des gardes interrogés des civils, ils leur brandissait un portrait en leur demandant des renseignements. J'arrivais a distinguer leur voies parmis le brouhaha de la rue. Ils se renseignaient sur moi, je fit directement demi-tour et m'enfonçait dans la ruelle. Au bout de celle-ci se trouvait un immense mur. J'étais coincé, en portant mon regard sur le sol je vis qu'une bouche d'égouts était ouverte. Sans prendre réellement le temps de réfléchir je la descendis en refermant au préalable la bouche d'égout. L'odeur qui arriva a mes narines faillit me faire vomir sur le champs.
Je sautais dans une marre de liquide dont je ne voulais pas savoir la contenance. Tout ce que je sentais était le coté poisseux de cette 'eau' qui passait entre mes pieds nus. Je m'enfonçais un peu plus dans les égouts. Je ne sait combien de temps je marchais, mais j'arrivais a une sortis. La lumière du soleil, sembla me priver de toutes mes forces. C'est a genou que je finis ma progression, incapable de me relever ou de tenir debout plus longtemps. Lorsque je fus a l'embouchure, je remarquais que le liquide immonde des égouts tombés de plusieurs metres dans une espéces de douves entourant une murailles hautes de plusieurs kilomètres.
N'en pouvant plus, mes doigts glissèrent et je finis par perdre l'équilibre. Je basculais dans le vide, par chance je n'atterrit pas dans les douves mais sur le sol, dur, rugeux, sec. Le choc fut moins enviable à la chute. J'eu l'impression que tout les os de mon corps c'était rompus à l'impact. Tant bien que mal je me levais pour constater que je venais d'atterrir en Enfer. Devant mes yeux ne s'étendait que désolation, sable brulant, roches nues. Mes plaies, me faisaient attrocement souffrir, mais je continuais ma progression, recherchant un coin d'ombre salvateur. Toutefois, mes espoirs furent vite balayaient comme un fétu de paille. Les seules rochers que je trouvais n'était pas assez grand pour fournir une ombre suffisante a mon corps endolorie. Mes pieds avancèrent, lentement, chaque pas procurait une morsure infernale. J'avais l'impression de progression a la vitesse d'un escargot. Je chutais plusieurs fois, m'assoupissant, me reveillant, recommencant ma progression, inexorablement, cherchant a fuir je ne sais plus qui, je ne sais plus quoi. Je progressait de cette manière toute la journée, et lorsque le soleil finit par se coucher, j'avais l'impression que la délivrance allait arrivée... [/align]
La suite bientot...
« Bonsoir, n'ais pas peur je ne te veux aucun mal.
- Ce n'est pas le sentiment que vos amis mon laissait. Ma voie trahissait ma peur.
- Tu traverse une phase qu'il va te falloir surmonter. Si tu veux apprendre suis moi. »
Il n'attendit pas que je réponde et reparti dans la direction opposé, s'enfoncant dans la ruelle sombre. Je me levais, et commençais à prendre la direction opposé, j'arrivais dans la rue principal et je remarqué que des gardes interrogés des civils, ils leur brandissait un portrait en leur demandant des renseignements. J'arrivais a distinguer leur voies parmis le brouhaha de la rue. Ils se renseignaient sur moi, je fit directement demi-tour et m'enfonçait dans la ruelle. Au bout de celle-ci se trouvait un immense mur. J'étais coincé, en portant mon regard sur le sol je vis qu'une bouche d'égouts était ouverte. Sans prendre réellement le temps de réfléchir je la descendis en refermant au préalable la bouche d'égout. L'odeur qui arriva a mes narines faillit me faire vomir sur le champs.
Je sautais dans une marre de liquide dont je ne voulais pas savoir la contenance. Tout ce que je sentais était le coté poisseux de cette 'eau' qui passait entre mes pieds nus. Je m'enfonçais un peu plus dans les égouts. Je ne sait combien de temps je marchais, mais j'arrivais a une sortis. La lumière du soleil, sembla me priver de toutes mes forces. C'est a genou que je finis ma progression, incapable de me relever ou de tenir debout plus longtemps. Lorsque je fus a l'embouchure, je remarquais que le liquide immonde des égouts tombés de plusieurs metres dans une espéces de douves entourant une murailles hautes de plusieurs kilomètres.
N'en pouvant plus, mes doigts glissèrent et je finis par perdre l'équilibre. Je basculais dans le vide, par chance je n'atterrit pas dans les douves mais sur le sol, dur, rugeux, sec. Le choc fut moins enviable à la chute. J'eu l'impression que tout les os de mon corps c'était rompus à l'impact. Tant bien que mal je me levais pour constater que je venais d'atterrir en Enfer. Devant mes yeux ne s'étendait que désolation, sable brulant, roches nues. Mes plaies, me faisaient attrocement souffrir, mais je continuais ma progression, recherchant un coin d'ombre salvateur. Toutefois, mes espoirs furent vite balayaient comme un fétu de paille. Les seules rochers que je trouvais n'était pas assez grand pour fournir une ombre suffisante a mon corps endolorie. Mes pieds avancèrent, lentement, chaque pas procurait une morsure infernale. J'avais l'impression de progression a la vitesse d'un escargot. Je chutais plusieurs fois, m'assoupissant, me reveillant, recommencant ma progression, inexorablement, cherchant a fuir je ne sais plus qui, je ne sais plus quoi. Je progressait de cette manière toute la journée, et lorsque le soleil finit par se coucher, j'avais l'impression que la délivrance allait arrivée... [/align]
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Modifié en dernier par Invité le 09:08:48 (29/05/07), modifié 1 fois.
[align=justify]Mon impression me quitta rapidement, le froid glacial succéda à la chaleur infernale. J'étais vraiment en Enfer. Aprés tout quoi de plus naturel, moi un ancien venant d'être maudit, je ne pouvais que finir en Enfer. Je me remis à marcher sous la clarté des lunes de la planètes.
Ma progression dura des heures, ou simplement quelques minutes, j'avais perdu la notion du temps. Je ne ressentais qu'une chose, la soif. Une envie de boire du sang. Je finis par m'écrouler. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais allongé sur un lit de fortune mon corps étais bandé de toutes part. Je me trouvais dans une tente. Le soleil s'était levé, et la chaleur avait repris sa place dehors, mais l'air semblait presque frais sous les étoffes de tissus de la tente.
Le SDF que j'avais croisé dans la ville, s'approcha de moi :
« Ah, tu semble reveillé ! Comment te sent tu ? »
Il me temponna le front avec un chiffon humide. Puis il alla chercher un verre en terre cuite qu'il me tendit. Je découvrit avec dégout qu'il s'agissait de sang. Mais la soif était plus forte que mon honneur. Je pris le verre et me tournait pour que l'on ne me regarde pas boire. Le liquide sembla salvateur, mais il avait beaucoup moins de saveur que celui d'un homme. Le SDF s'assit sur le rebord du lit et commença à me parler.
« Tu n'as aucune honte à boire, meme si c'est du sang. Le sang est la vie, et tu en auras besoin tout au long de l'éternité qui t'attend ! »
c'est mot frappèrent mon esprit et je jettais instantannément le verre au loin. L'homme se leva et alla chercher le récipient il le posa sur la table. Puis il se saisit d'un autre verre qu'il remplit à nouveau du liquide opaque. Il déposa le verre sur un plateau et renvint s'assoir sur le rebord du lit. Il déposa le tout sur le meuble improvisé en table de chevet, et reprit la ou il s'était arrêté :
« Tu renie ce que tu est, car tu te fait horreur pour le moment, mais sache que ce n'est pas du sang humain, mais celui d'animaux que tu vient de boire.
- Vous insinuez que la vie des animaux est moins importantes que celles des hommes ?
- Non, mais la conscience humaines se soulage plus facilement du meurtre d'un animal que de celui d'un homme. Tu as beaucoup à apprendre. Le temps de ta convalescence, je t'enseignerait tout ce que tu as besoin de savoir sur ta nouvelle condition. Et si tu estimes que tu dois en apprendre plus tu pourras rester. Mais pour le moment tu doit te reposer. »
il se leva et allait partir quand je le stoppait :
« Je dois vous parraitre bien ingrat pour ne pas vous remercier pour tous ce que vous faites pour moi. Je ne connais meme pas votre nom, ni meme comment vous en savez autant sur moi.
- disons simplement que j'aide comme je le peux, et que mon nom n'a que peu d'importance »
Il sortit de la tente, et je retombait dans les bras de morphée. Je me réveillais à la tombée de la nuit, et mon apprentissage sur ma nouvelle condition continua ainsi pendant plusieurs mois. Lorsque l'homme estima que j'en savais suffisament, il m'emmena dans une sorte de temple. De l'extérieur on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une simple grotte, mais lorsque l'on rentrait a l'interieur on remarquait directement qu'elle n'était pas naturel. Nous marchames pendant longtemps jusqu'à ce que le sol me deviennent plus familier. En effet, nous étions dans une structure faite de métal. Là l'homme me dit qu'il s'agissait d'une petite frégate et que je devais retourner vers les miens car il devaient s'inquieter.
Je le remercié pour tout ce qu'il avait fait et lui demandait s'il voulait m'accompagner. Il refusa directement. Je pris alors les commandes et entra les coordonnées d'envol. Les moteurs se mirent a vrombir et le vaisseaux décolla et se stabilisa. Je commencais à demander à l'ordinateur de rentrer les coordonnées de calcul de vitesse lumière afin de rentrer au bercail. Lorsque j'arrivais en orbite autour de la planéte, la fenêtre de passage en vitesse lumière s'ouvrit devant moi, et j'en profitais pour partir.
Lorsque j'arrivais au QG des Light, j'arpentais les couloirs tels un fantôme. Je retrouvais mes quartiers, mais je dus changer mes habitudes afin que l'on ne remarque pas ce que j'étais devenus. Il me restait tout de meme un espoir, ma condition pouvait être transcendé, il existait une rédemption et il fallait que j'emprunte ce chemin afin de pouvoir revenir dans la lumière.[/align]
La suite et bien il y en aura peut être une, peut être pas, tout dépend de vous... oui a partir de ce point de l'histoire vous pouvez y participer, en respectant certaines petites rêgles simplistes :
- tout d'abord, si vous introduisait un personnage, vous êtes le seul a le diriger et les autres ne peuvent pas utiliser ce personnages a leur bon vouloir parce que sa ne leur plait pas
- ensuite il faudra respecter l'esprit du récit
voila alors ceux qui veulent tenter leur chance sur se récits et interragir avec moi, qu'ils le fassent
Le but sera de faire une trame en interraction avec les autres membres de la Light, alors a votre clavier.
J'espère que vous avez apréciez la lecture
Ma progression dura des heures, ou simplement quelques minutes, j'avais perdu la notion du temps. Je ne ressentais qu'une chose, la soif. Une envie de boire du sang. Je finis par m'écrouler. Lorsque je rouvris les yeux, j'étais allongé sur un lit de fortune mon corps étais bandé de toutes part. Je me trouvais dans une tente. Le soleil s'était levé, et la chaleur avait repris sa place dehors, mais l'air semblait presque frais sous les étoffes de tissus de la tente.
Le SDF que j'avais croisé dans la ville, s'approcha de moi :
« Ah, tu semble reveillé ! Comment te sent tu ? »
Il me temponna le front avec un chiffon humide. Puis il alla chercher un verre en terre cuite qu'il me tendit. Je découvrit avec dégout qu'il s'agissait de sang. Mais la soif était plus forte que mon honneur. Je pris le verre et me tournait pour que l'on ne me regarde pas boire. Le liquide sembla salvateur, mais il avait beaucoup moins de saveur que celui d'un homme. Le SDF s'assit sur le rebord du lit et commença à me parler.
« Tu n'as aucune honte à boire, meme si c'est du sang. Le sang est la vie, et tu en auras besoin tout au long de l'éternité qui t'attend ! »
c'est mot frappèrent mon esprit et je jettais instantannément le verre au loin. L'homme se leva et alla chercher le récipient il le posa sur la table. Puis il se saisit d'un autre verre qu'il remplit à nouveau du liquide opaque. Il déposa le verre sur un plateau et renvint s'assoir sur le rebord du lit. Il déposa le tout sur le meuble improvisé en table de chevet, et reprit la ou il s'était arrêté :
« Tu renie ce que tu est, car tu te fait horreur pour le moment, mais sache que ce n'est pas du sang humain, mais celui d'animaux que tu vient de boire.
- Vous insinuez que la vie des animaux est moins importantes que celles des hommes ?
- Non, mais la conscience humaines se soulage plus facilement du meurtre d'un animal que de celui d'un homme. Tu as beaucoup à apprendre. Le temps de ta convalescence, je t'enseignerait tout ce que tu as besoin de savoir sur ta nouvelle condition. Et si tu estimes que tu dois en apprendre plus tu pourras rester. Mais pour le moment tu doit te reposer. »
il se leva et allait partir quand je le stoppait :
« Je dois vous parraitre bien ingrat pour ne pas vous remercier pour tous ce que vous faites pour moi. Je ne connais meme pas votre nom, ni meme comment vous en savez autant sur moi.
- disons simplement que j'aide comme je le peux, et que mon nom n'a que peu d'importance »
Il sortit de la tente, et je retombait dans les bras de morphée. Je me réveillais à la tombée de la nuit, et mon apprentissage sur ma nouvelle condition continua ainsi pendant plusieurs mois. Lorsque l'homme estima que j'en savais suffisament, il m'emmena dans une sorte de temple. De l'extérieur on aurait pu croire qu'il s'agissait d'une simple grotte, mais lorsque l'on rentrait a l'interieur on remarquait directement qu'elle n'était pas naturel. Nous marchames pendant longtemps jusqu'à ce que le sol me deviennent plus familier. En effet, nous étions dans une structure faite de métal. Là l'homme me dit qu'il s'agissait d'une petite frégate et que je devais retourner vers les miens car il devaient s'inquieter.
Je le remercié pour tout ce qu'il avait fait et lui demandait s'il voulait m'accompagner. Il refusa directement. Je pris alors les commandes et entra les coordonnées d'envol. Les moteurs se mirent a vrombir et le vaisseaux décolla et se stabilisa. Je commencais à demander à l'ordinateur de rentrer les coordonnées de calcul de vitesse lumière afin de rentrer au bercail. Lorsque j'arrivais en orbite autour de la planéte, la fenêtre de passage en vitesse lumière s'ouvrit devant moi, et j'en profitais pour partir.
Lorsque j'arrivais au QG des Light, j'arpentais les couloirs tels un fantôme. Je retrouvais mes quartiers, mais je dus changer mes habitudes afin que l'on ne remarque pas ce que j'étais devenus. Il me restait tout de meme un espoir, ma condition pouvait être transcendé, il existait une rédemption et il fallait que j'emprunte ce chemin afin de pouvoir revenir dans la lumière.[/align]
La suite et bien il y en aura peut être une, peut être pas, tout dépend de vous... oui a partir de ce point de l'histoire vous pouvez y participer, en respectant certaines petites rêgles simplistes :
- tout d'abord, si vous introduisait un personnage, vous êtes le seul a le diriger et les autres ne peuvent pas utiliser ce personnages a leur bon vouloir parce que sa ne leur plait pas
- ensuite il faudra respecter l'esprit du récit
voila alors ceux qui veulent tenter leur chance sur se récits et interragir avec moi, qu'ils le fassent
Le but sera de faire une trame en interraction avec les autres membres de la Light, alors a votre clavier.
J'espère que vous avez apréciez la lecture
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Arlesia avait disparu depuis maintenant plusieurs mois, et je n'espérais plus son retour. Ce combat face aux Dwels avait été catastrophique... Quelle idée d'entrer sur leur territoire aussi? Arlesia devait bien avoir ses raisons pour mobiliser la moitié de la flotte de la Starlight G4 et la mener à sa perte. Mais il n'était plus là pour nous expliquer son geste.
Pendant longtemps, j'avais espéré le retrouver un matin, à moitié mort, devant les portes du QG de la Light. Mais aucun doute n'était possible maintenant, Arlesia était mort. Mort dans son vaisseau -- ce que j'espérais -- ou mort dans les geoles des sinistres Dwels? Peut être l'ont-ils torturés pour obtenir des informations sur la Starlight? C'était ce que je redoutais le plus. Certes nous avions bloqués ses accès à notre base de données OGSpy, mais il subsiste toujours un risque de pénétrer notre réseau informatique.
Cependant aucune attaque n'était à déplorer sur nos empires, ce qui confirmait le fait qu'Arlesia avait péri dans son vaisseau et n'avait été confrontés aux terribles Dwels... C'était mieux pour lui, au moins, il n'avait pas souffert !
Son peuple avait fait son deuil aussi. J'avais du gérer son empire en attendant les élections du nouveau gouverneur, et la peine qu'avait succité sa disparition n'avait pas été simple à gérer. Plus de 10 000 suicides ont été enregistrés, 500 000 dépressions et près de 10 millions de lettres de condoléances à sa famille. Inédit dans l'histoire de la Starlight !
Bref, tout le monde avait pleuré sur sa disparition, un enterrement officiel avait eu lieu sur sa planète de naissance et ses habitants fleurissaient régulièrement sa tombe. Mais la vie continuait, et chacun avait repris ses activités habituelles.
J'avais fait mon deuil. Arlesia n'était plus, mais la roue tourne... Je gardais simplement en lui son optimisme légendaire et son allure charismatique.
Aussi, quel ne fut pas mon étonnement de croiser ce grand personnage ce matin dans les QG de la Starlight. Je me surpris même à répondre distraitement à son bonjour comme s'il s'agissait d'un commandant quelconque que je voyais tous les jours !
Pendant longtemps, j'avais espéré le retrouver un matin, à moitié mort, devant les portes du QG de la Light. Mais aucun doute n'était possible maintenant, Arlesia était mort. Mort dans son vaisseau -- ce que j'espérais -- ou mort dans les geoles des sinistres Dwels? Peut être l'ont-ils torturés pour obtenir des informations sur la Starlight? C'était ce que je redoutais le plus. Certes nous avions bloqués ses accès à notre base de données OGSpy, mais il subsiste toujours un risque de pénétrer notre réseau informatique.
Cependant aucune attaque n'était à déplorer sur nos empires, ce qui confirmait le fait qu'Arlesia avait péri dans son vaisseau et n'avait été confrontés aux terribles Dwels... C'était mieux pour lui, au moins, il n'avait pas souffert !
Son peuple avait fait son deuil aussi. J'avais du gérer son empire en attendant les élections du nouveau gouverneur, et la peine qu'avait succité sa disparition n'avait pas été simple à gérer. Plus de 10 000 suicides ont été enregistrés, 500 000 dépressions et près de 10 millions de lettres de condoléances à sa famille. Inédit dans l'histoire de la Starlight !
Bref, tout le monde avait pleuré sur sa disparition, un enterrement officiel avait eu lieu sur sa planète de naissance et ses habitants fleurissaient régulièrement sa tombe. Mais la vie continuait, et chacun avait repris ses activités habituelles.
J'avais fait mon deuil. Arlesia n'était plus, mais la roue tourne... Je gardais simplement en lui son optimisme légendaire et son allure charismatique.
Aussi, quel ne fut pas mon étonnement de croiser ce grand personnage ce matin dans les QG de la Starlight. Je me surpris même à répondre distraitement à son bonjour comme s'il s'agissait d'un commandant quelconque que je voyais tous les jours !
[align=justify]j'arpentais les couloirs familier mais qui me semblait en meme temps si lointain du QG de la Starlight. des têtes familières circuler dans ce dédale.
Lorsque j'arrivais a mes anciens quartiers je remarqué que mon espace avait été trasmis a quelqu'un dont j'ignorais jusqu'au nom. Je decidais de poursuivre mon périble dans le domaine de la bureaucratie. Au détour d'un couloir j'appercevait le commandant en chef Mulot, mon bras se leva automatiquement pour le saluer. Très vite des questions m'assaillirent :
"Je vais être interrogé sur mon abscence. Comment vont ils pouvoir me faire confiance ? alors que je dois cacher ma nouvelle nature. S'ils ont attribué mes anciens quartier c'est que je suis censé être mort. Comment expliquer ce qu'il m'est arrivé ?"
Je baissai rapidement ma main et commencait à prendre la direction d'un couloir opposé, afin d'échapper a tous sa. la faim commençait à se faire sentir, il me fallait partir pour la ville, je devais me nourrir, et en meme temps il fallait que je reprenne ma place. bien malgré moi, mes pas m'entrainé vers la sortie du QG. [/align]
Bin y a que Mulot que sa interresse ce récit ?
Lorsque j'arrivais a mes anciens quartiers je remarqué que mon espace avait été trasmis a quelqu'un dont j'ignorais jusqu'au nom. Je decidais de poursuivre mon périble dans le domaine de la bureaucratie. Au détour d'un couloir j'appercevait le commandant en chef Mulot, mon bras se leva automatiquement pour le saluer. Très vite des questions m'assaillirent :
"Je vais être interrogé sur mon abscence. Comment vont ils pouvoir me faire confiance ? alors que je dois cacher ma nouvelle nature. S'ils ont attribué mes anciens quartier c'est que je suis censé être mort. Comment expliquer ce qu'il m'est arrivé ?"
Je baissai rapidement ma main et commencait à prendre la direction d'un couloir opposé, afin d'échapper a tous sa. la faim commençait à se faire sentir, il me fallait partir pour la ville, je devais me nourrir, et en meme temps il fallait que je reprenne ma place. bien malgré moi, mes pas m'entrainé vers la sortie du QG. [/align]
Bin y a que Mulot que sa interresse ce récit ?
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- Maniac-posteur planétaire
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[align=justify]Le Comte était intrigué. Il venait au QG lire les affiches qui comme d'habitude affluaient dans la Starlight et il vu, dans la rubrique funéraire, funeste rubrique, un homme assez beau, qu'on sentait né pour gouverner et qu'il avait vu, il y a bien longtemps, trop longtemps.
Le Chef-Commandant Arlésia (HRP : je savais pas trop quel titre te donner^^) était mort a la guerre et son honneur était sauf.
Cependant, ce qui le fit tiqué, fut qu'il fut presque sur d'avoir croisé un homme lui ressemblant quasiment trait pour trait dans le couloir d'où il venait, a l'exception de sa blancheur et de la férocité qui ressortait de cet homme
"Surement un cousin en deuil" se dit-il pour se convaincre lui-meme.
Mais sa mort datait maintenant depuis plusieurs mois et c'était peu propable ...
Il salua machinalement les officiers parcourant le QG et ses pensées l'entrainèrent vers
un couloir sombre, où il crut voir un mouvement. Les Anges ne craignant pas l'ombre, le (Comte poursuivie ce fragment de noirceur et après moults couloirs, ou il finit par courir, autant attiré par la curiosité que le pur réflexe de poursuivre tout ce qui se cache.
Et au détour d'un couloir, un de ces nombreux couloirs, il se cogna contre une homme qu'il ne reconnut pas tout de suite et il eut juste le temps de voir qu'il avait perdu son fantome.
Il gromela un pardon et reconnut, enfin son interlocuteur, Mulot chef de la Light :
"Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs ...
Sais tu comment est mort Arlésia ? Non pas que je n'en ai pas entendu des fragments, mais toujours par la bouche de fou torturés par l'alcool, dans les tavernes des vieux ports ..."
[/align]
(HRP : pas terrible, mais je ne suis pas tres bon en role play)
Le Chef-Commandant Arlésia (HRP : je savais pas trop quel titre te donner^^) était mort a la guerre et son honneur était sauf.
Cependant, ce qui le fit tiqué, fut qu'il fut presque sur d'avoir croisé un homme lui ressemblant quasiment trait pour trait dans le couloir d'où il venait, a l'exception de sa blancheur et de la férocité qui ressortait de cet homme
"Surement un cousin en deuil" se dit-il pour se convaincre lui-meme.
Mais sa mort datait maintenant depuis plusieurs mois et c'était peu propable ...
Il salua machinalement les officiers parcourant le QG et ses pensées l'entrainèrent vers
un couloir sombre, où il crut voir un mouvement. Les Anges ne craignant pas l'ombre, le (Comte poursuivie ce fragment de noirceur et après moults couloirs, ou il finit par courir, autant attiré par la curiosité que le pur réflexe de poursuivre tout ce qui se cache.
Et au détour d'un couloir, un de ces nombreux couloirs, il se cogna contre une homme qu'il ne reconnut pas tout de suite et il eut juste le temps de voir qu'il avait perdu son fantome.
Il gromela un pardon et reconnut, enfin son interlocuteur, Mulot chef de la Light :
"Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs ...
Sais tu comment est mort Arlésia ? Non pas que je n'en ai pas entendu des fragments, mais toujours par la bouche de fou torturés par l'alcool, dans les tavernes des vieux ports ..."
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(HRP : pas terrible, mais je ne suis pas tres bon en role play)
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Je venais de croiser Arlesia, et pour un peu, je ne l'aurais même pas remarqué !... Chose curieuse, plutot que de s'arrêter pour me parler, Arlesia continua son chemin comme si de rien n'était. Curieux cela... En général, Arlesia ne manquait pas de me parler, et le fait d'avoir été considéré comme mort depuis plusieurs mois était une raison suffisante pour qu'on s'échange quelques mots !
Je fit donc demi-tour afin de le rattraper ce qui aurait pu être fait en deux secondes si je me n'étais pas heurter à l'imposante carrure de Nemus.
Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs... ,me dit-il.Sais tu comment....
Je ne pris pas le temps de lui répondre, je le dégageai de mon chemin d'un mouvement du bras, ce qui l'a projeté un peu brutalement contre le mur. Mais pendant ce temps, Arlesia avait tournée au bout du couloir. Diable, il marche vite !
Je m'élançai en courant dans l'étroit couloir du QG, et je pu finalement le rattraper 30 mètres plus loin.
Une fois arrivé derrière lui (il ne s'était pas arrêté de marcher), je lançai amicalement un "Alors, quoi de neuf, chef?" et posai simultanément ma main sur son épaule. Mais quelle ne fut pas ma surprise de constater avec horreur qu'elle était froide...
Je fit donc demi-tour afin de le rattraper ce qui aurait pu être fait en deux secondes si je me n'étais pas heurter à l'imposante carrure de Nemus.
Excuse moi, je poursuivais simplement de vieux souvenirs... ,me dit-il.Sais tu comment....
Je ne pris pas le temps de lui répondre, je le dégageai de mon chemin d'un mouvement du bras, ce qui l'a projeté un peu brutalement contre le mur. Mais pendant ce temps, Arlesia avait tournée au bout du couloir. Diable, il marche vite !
Je m'élançai en courant dans l'étroit couloir du QG, et je pu finalement le rattraper 30 mètres plus loin.
Une fois arrivé derrière lui (il ne s'était pas arrêté de marcher), je lançai amicalement un "Alors, quoi de neuf, chef?" et posai simultanément ma main sur son épaule. Mais quelle ne fut pas ma surprise de constater avec horreur qu'elle était froide...
[align=justify]J'allais sortir, il fallait que je sorte. la soif, devait être appésée.
je sentis un contact sur mon épaule qui me ramena à la réalité. je tourné la tête pour voir qui m'avait attrapé de la sorte, prés à frapper l'impudent pour son geste. Je retins mon cou en remarquant qu'il s'agissait de Mulot. Il m'avait donc suivi, rien d"étonnant de sa part. je devait me rendre en ville, il fallait que je me nourrisse. Il me reformula sa question :
"Alors, quoi de neuf, chef?"
Comment m'esquiver ? Je remarquait son mouvement de recul. Mes yeux trahissaient un coté étrange chez moi, et il venait de le voir, sans compter que sans m'être nourrit mon teint avait une apparence plustot laiteuse. Les questions allaient pleuvoir et je ne pouvais me permettre de rentrer en frénésie. Je lui souris, en commencant a bredouiller quelques chose :
"ah...Mulot, je veux dire Commandant en chef ! Cela faisait longtemps. Je suis navré, je ne peux pas parler maintenant, il faut que je me rende en ville pour terminer une transaction des plus importantes. mais je te promet de revenir le plus vite possible pour que nous ayons une discution."
Je lui sourit a nouveau en lui serrant la main avant de me retourner pour me diriger vers la sortie.[/align]
Merci a ceux qui y participent, j'espère que sa vous plait
je sentis un contact sur mon épaule qui me ramena à la réalité. je tourné la tête pour voir qui m'avait attrapé de la sorte, prés à frapper l'impudent pour son geste. Je retins mon cou en remarquant qu'il s'agissait de Mulot. Il m'avait donc suivi, rien d"étonnant de sa part. je devait me rendre en ville, il fallait que je me nourrisse. Il me reformula sa question :
"Alors, quoi de neuf, chef?"
Comment m'esquiver ? Je remarquait son mouvement de recul. Mes yeux trahissaient un coté étrange chez moi, et il venait de le voir, sans compter que sans m'être nourrit mon teint avait une apparence plustot laiteuse. Les questions allaient pleuvoir et je ne pouvais me permettre de rentrer en frénésie. Je lui souris, en commencant a bredouiller quelques chose :
"ah...Mulot, je veux dire Commandant en chef ! Cela faisait longtemps. Je suis navré, je ne peux pas parler maintenant, il faut que je me rende en ville pour terminer une transaction des plus importantes. mais je te promet de revenir le plus vite possible pour que nous ayons une discution."
Je lui sourit a nouveau en lui serrant la main avant de me retourner pour me diriger vers la sortie.[/align]
Merci a ceux qui y participent, j'espère que sa vous plait
[align=justify]je m'étais arraché a l'étreinte de Mulot et j'étais parti me nourrir en ville. ma soif calmé, je revenais dans les couloirs du QG en espérant trouvé l'un des chefs, mais j'avais beau arpenté les couloirs, je ne reconnaissait personne, ou se trouvait donc tous ceux qui avait fait la grandeur de la Starlight. j'avais l'impression que [align=justify]des siècles c'était écoulé et que je me trouver dans un musée, dont j'étais une piéce parmi d'autres dans cet immense dédale d'oeuvre d'art.
je me mit a marcher dans les couloirs tel un fantome perdu dans mes pensées, et ne prétent attention a quiconque se trouvant a mes cotés[/align]
je me mit a marcher dans les couloirs tel un fantome perdu dans mes pensées, et ne prétent attention a quiconque se trouvant a mes cotés[/align]
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- Verrouilleur fou
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- Localisation : sur mon trône
Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine se rendait pour la première fois dans le QG de la starlight ou,en vu de ces derniers exploits dans le cadre des batailles contre les kannis dans le système solaire de Limo devait se voir remmettre un nouveau grade,une nouvelle affection en tant que second de l'amiral Nervada l'élu pour la succession du defunt amiral Arlesia et le commandement de plusieurs bataillon de chasseur lourd ce qui était une première pour un si jeune officier dans l'histoire de la starlight.
Il devait rencontrer le contre-amiral Hitoki pour officialiser sa nouvelle fonction quand son regard fut accroché par un homme au teint livide et légerement recourbé sur lui même,cet homme ressemblait étrangement au defunt Arlesia amiral de renomé chez qui il avait toujours souhaitait servir.
Son capitaine semblait également troublé et s'avança vers l'homme et dit:
monsieur....vous n'êtes tout de même pas....
l'homme releva la tête et...........
Il devait rencontrer le contre-amiral Hitoki pour officialiser sa nouvelle fonction quand son regard fut accroché par un homme au teint livide et légerement recourbé sur lui même,cet homme ressemblait étrangement au defunt Arlesia amiral de renomé chez qui il avait toujours souhaitait servir.
Son capitaine semblait également troublé et s'avança vers l'homme et dit:
monsieur....vous n'êtes tout de même pas....
l'homme releva la tête et...........
Arlesia entendit une voie qui le fit sortir de sa torpeur.
son regard se porta tout d'abord sur un jeune homme, son teint avait légèrement passé, comme s'il venait de voir un mort.
Arlesia eu l'impression de se voir dans un miroir, puis il entendit la question fatidique. il se redressa et prit une stature plus militaire, jaugeant le jeune officier qui se trouvait devant lui.
Ce qu'il en vit le satisfesait, ce jeune semblait né pour diriger. la stupeur passé il reposa sa question et arlesia s'eclairsi la voie avant de répondre.
"Bonjour, je suis l'amiral Arlesia. et oui c'est bel et bien moi. A qui aie je l'honneur ? "
Ne laissant pas l'officier répondre il enchaina
"vous n'avez qu'a m'accompagner jusqu'au bureau administratif afin que mon nom soit réhobiliter, ainsi vous pourrez me dire ce que j'ai manquer en mon abscence forcée"
et il lui emboita le pas.
son regard se porta tout d'abord sur un jeune homme, son teint avait légèrement passé, comme s'il venait de voir un mort.
Arlesia eu l'impression de se voir dans un miroir, puis il entendit la question fatidique. il se redressa et prit une stature plus militaire, jaugeant le jeune officier qui se trouvait devant lui.
Ce qu'il en vit le satisfesait, ce jeune semblait né pour diriger. la stupeur passé il reposa sa question et arlesia s'eclairsi la voie avant de répondre.
"Bonjour, je suis l'amiral Arlesia. et oui c'est bel et bien moi. A qui aie je l'honneur ? "
Ne laissant pas l'officier répondre il enchaina
"vous n'avez qu'a m'accompagner jusqu'au bureau administratif afin que mon nom soit réhobiliter, ainsi vous pourrez me dire ce que j'ai manquer en mon abscence forcée"
et il lui emboita le pas.
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- Sosie de sangohan
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Mister MoNoKrOmE rentra dans la piéce, filet au fish dans la mains et barquette de frite dans l'autre, il lui dit :
" Alerrrissa gloupp... Désolé avaler de travers, t'es baleze en RP, tu veut pas mfaire un la prochaine fois assurrr, pis je te ramenerai un pti menu si sa te dit hein, aller a plus, ciao, un de ces quatre, bye bye, tchuss, tcheak sa..."
Sur ces mots si charmant, MoNoKrOmE retourna au pres des siens...
" Alerrrissa gloupp... Désolé avaler de travers, t'es baleze en RP, tu veut pas mfaire un la prochaine fois assurrr, pis je te ramenerai un pti menu si sa te dit hein, aller a plus, ciao, un de ces quatre, bye bye, tchuss, tcheak sa..."
Sur ces mots si charmant, MoNoKrOmE retourna au pres des siens...
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- Verrouilleur fou
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Le jeune lieutenant Napoléon accompagné de son capitaine suivèrent l'amiral Arlesia en lui expliquant que depuis sa disparission l'amiral Nervada avait repris les fonctions qu'occupé Arlésia.Le capitaine raconta les exploits du lieutenant Napoléon lors des batailles contre les kannis,il explicat qu'il accompagnais le jeune lieutenant au QG de la starlight ou on devait lui confié le postede second de l'amiral Nervada.
L'amiral Arlesia avançait à grande vitesse et les deux sous-officiers arrivait à grand peine à le suivre.Arlesia semblait écouter tout en cherchant quelque chose de bien précis.
Aelesia c'était fait abordé par un gros goinffre qui parlait la bouche pleine et n'avais pas deigné répondre,il avançait toujours tous droit.C'est alors que Napoléon reconnu la galerie des victoires guerrière qu'il n'avais vu qu'en photo,tous les grand nom de la starlight y figuré accompagné de HOF,Napoléon vit inscrit le nom d'hitoki de ricardo de mulot et de plein d'autre emblème de la starlight.Arlesia continuait de s'enfoncer dans les profondeur du QG.
L'amiral Arlesia avançait à grande vitesse et les deux sous-officiers arrivait à grand peine à le suivre.Arlesia semblait écouter tout en cherchant quelque chose de bien précis.
Aelesia c'était fait abordé par un gros goinffre qui parlait la bouche pleine et n'avais pas deigné répondre,il avançait toujours tous droit.C'est alors que Napoléon reconnu la galerie des victoires guerrière qu'il n'avais vu qu'en photo,tous les grand nom de la starlight y figuré accompagné de HOF,Napoléon vit inscrit le nom d'hitoki de ricardo de mulot et de plein d'autre emblème de la starlight.Arlesia continuait de s'enfoncer dans les profondeur du QG.